SAVEZ VOUS RECEVOIR UN COMPLIMENT?

Avec tous mes compliments

L’exercice qui suit est tiré du livre Rendez-vous au cœur de l’Être. Le TU ici employé est dans une Dynamique du YOU anglais amical et non dans une proximité familière Française.

Après avoir reçu un compliment, tu prends un temps d’observation dans un endroit calme et paisible ou tu ne seras pas dérangé. Tu t’intériorises un moment et tu réponds aux questions suivantes par écrit ou intérieurement, selon ce qui te convient le mieux.

Commence par prendre conscience de ta respiration, suit le trajet au plus profond de tes narines, comme si tes fausses nasales s’ouvraient sans effort pour recevoir l’air qui entre et ressort. Et fais des inspirations 2 fois plus courtes que tes expirations pendant un moment en vérifiant que tu vides bien tout l’air qui est dans ton ventre et tes poumons. Pour ce faire, tu peux t’aider en portant tes mains sur ton ventre et ta poitrine. , jusqu’à ce que tu ressentes une détente. Puis tu prends contact avec tous tes points d’appuis et tu détends autour de chaque zone que tu ressens. Prends bien ton temps avant de débuter l’exercice suivant.

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Une relation ne se réfléchit pas, elle se vit

La connaissance de soi

« La connaissance de soi ne s’acquiert pas dans les livres et ne résulte pas d’une pratique et d’une discipline longues et pénibles. Elle est la conscience de toutes pensées et de tous les sentiments de toutes les sensations, au moment ou ils se manifestent dans la relation« 

Pourquoi se connaitre soi même ?

Observer notre propre processus psychologique ne peut se faire que dans la relation, c’est là que tout ce joue. Dans les rencontres de dialogue visant la connaissance de soi, la proposition est d’être ensemble en état d’observation, sans justification, ni condamnation, de ses pensées; simplement conscient de ses croyances, ses idéaux, ses expériences, ses désirs, ses peurs, ses réactions… c’est dans cet espace temps, qu’il est proposé de partager ensemble cet état d’esprit tout au long de la rencontre, tant dans les moments de dialogues organisés, qu’à d’autres moments (balades, sophrologie, yoga, film…)

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L’ÉNERGIE DU JAUNE

L’ÉNERGIE DU JAUNE

 « Le jaune »  un phénomène de société plein d’énergie

Comment ne pas partager cette belle connaissance et de faire le lien avec les phénomènes d’actualités de  notre société !

 Dans les enseignements de Yoga , le Jaune représente notre troisième centre d’énergie « chakras, appelés  aussi les portes du temps  » ce centre se situe au niveau du creux de l’estomac. Il gouverne l’estomac, l’intestin grêle, la rate, le foie, la vésicule biliaire, les glandes surrénales et les reins. Ce centre est également relié aux plexus solaire, encore appelé plexus cœliaque.

Ce centre a associé à la volonté, au pouvoir, à l’égoïsme, au contrôle, à l’agressivité et à la domination. C’est le centre de l’esprit de compétitivité, du pouvoir,de l’estime de soi et de l’attention dirigée. Quand le 3ème centre est équilibré, vous vous servez de votre volonté pour surmontée les difficultés liées a votre environnement et à votre vie. A l’inverse des 1er et2eme centre , celui-ci s’active naturellement quand vous percevez que votre environnement n’est pas sécurisé ou qu’il est imprévisible, ce qui vous amène à vouloir protéger vos proches ainsi que vous-même. Le 3ème centre  est également actif lorsque vous voulez quelque chose et que vous devez vous servir de votre corps pour l’obtenir

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DIFFÉRENCES ENTRE ATTACHEMENT ET AMOUR POUR PRÉVENIR LA SOUFFRANCE EN COUPLE

article écrit par Line Bolduc auteure et conférencière à la solution est en vous

Depuis toutes mes années de pratique dans le domaine des relations humaines et dans l’enseignement en lien avec l’aspect affectif, j’ai pu constater qu’il y a beaucoup de confusion dans la définition de l’amour avec l’attachement.

L’attachement est selon mes recherches et perceptions est souvent associé à un mal-être. Il est davantage porteur de souffrance et relié à l’ego, à l’insécurité et à la peur de se retrouver seul. Il donne souvent une fausse impression d’être en amour mais en fait, c’est comme si la personne rencontrée devenait l’objet qui vient remplir un vide. Cela est inconscient tant qu’une démarche d’autonomie affective n’est pas entreprise. C’est le monde des illusions qui s’exprime à son meilleur. De là risquent de naître les relations toxiques.

Il y a tout de même une forme d’attachement sain qui naît de l’amour profond entre deux personnes mais malheureusement, l’attachement qui fait souffrir est souvent mal identifié. C’est pourquoi je vous partage ces quelques pistes de réflexion qui je l’espère, vous aideront à faire la différence à ressentir si vous avez vécu ou vivez l’amour véritable en relation.

  1. L’amour nous amène à ressentir de la plénitude. Il permet l’émergence du respect, de la simplicité et du naturel. Il ne nécessite pas de façade pour séduire à tout prix. Aimer, c’est s’aider mutuellement à grandir en harmonie et avec joie. Le contrôle n’a pas sa place. On veut le bonheur de l’autre sans oublier le nôtre qui est la base fondamentale à respecter.
  1. L’attachement est souvent empreint de manipulation. Il attend que l’autre soit source de bonheur pour soi. C’est comme confier un mandat interminable à quelqu’un. Le hic, c’est que cette personne s’attendra peut-être à la même chose de votre part et le cercle vicieux de la déception s’enclenchera.
    On ne peut donner ce qu’on n’a pas. La peur d’être abandonné et rejeté est aux premières loges. Les blessures se confrontent. La personne s’attache à l’image idéalisée que l’autre pourrait peut-être apporter réconfort, sécurité et plénitude, au lieu de générer cela en elle pour ensuite le partager avec une personne de même niveau.
    Il y a surtout appréciation pour ce qui est apporté et non pour les traits de personnalité en tant que tels. Ceux-ci n’étant pas pleinement compatibles bien souvent en plus. La relation peut rapidement devenir conflictuelle compte tenu de la dépendance affective mutuelle. L’attachement rend dépendant des agissements de l’autre pour avoir du bonheur supposé. La personne s’attache à un idéal anticipé.
  1. L’amour élève, illumine, allège, égaye et nourrit l’être en soi dans toutes les sphères. Il permet d’être soi en toute authenticité. La confiance est présente, tout comme l’écoute et l’empathie. Chacun aide l’autre à transformer ses difficultés en tremplin de bien-être au lieu de critiquer et juger.
  1. L’attachement veut garder emprise sur l’autre. Il dirige, il a peur de perdre et la relation s’asphyxie. Pour savoir si vous vivez de l’amour ou de l’attachement, mesurez votre relation à votre degré de bonheur. Celle-ci vous amène-t-elle du bonheur ou vous sentez-vous à contrecourant encore et encore, vous apportant tristesse et insatisfaction?

Si c’est aussi sombre, comment pouvez-vous appeler cela de l’amour?

Ne serait-ce l’exemple parfait de l’attachement et de la peur de l’inconnu et de la solitude?

  1. L’amour est évolutif et plus durable. Les partenaires prennent plaisir à le nourrir et à en prendre soin comme un trésor. Il favorise l’émergence du cœur d’enfant et du bien-être. Il se construit sur des traits de personnalité communs et compatibles, matures, et non principalement sur une attirance physique, même si celle-ci soit à tenir en compte pour une majorité de gens.
  1. L’amour calme, favorise la plénitude et la compréhension de soi. Être réellement amoureux diminue l’égocentrisme. On construit réellement à deux et on regarde dans la même direction. Ce n’est pas une guerre d’ego, de contrôle ou une série de ressentiments. On se parle librement, on se soutient et on s’aime profondément juste parce qu’on est bien ensemble. On a su se choisir en fonction de nos valeurs profondes qui convergent vers les mêmes idéaux, au lieu d’avoir quelqu’un pour avoir quelqu’un en se fondant sur des critères superficiels. Pour celles et ceux qui vivent ce type de relation, un temps d’arrêt pour mieux se connaître a souvent été un préalable à cette belle réalisation affective. Les deux sont dans l’auto-responsabilisation face à leur bonheur, au lieu de l’attendre surtout de l’autre. En étant à l’écoute de soi, on devient à l’écoute de l’autre naturellement. Chacun peut exprimer librement sa sensibilité, sa vulnérabilité et ses émotions sans se faire juger ou dénigrer.
  1. L’attachement est source de confrontation car il suscite de grandes attentes face aux comportements de l’autre avec votre capacité à atteindre le bonheur. Frustrations et déceptions se pointent alors. Il y a le risque de se sentir exister par la souffrance car c’est malheureusement une programmation limitative que bien des gens portent en eux.

En résumé, l’attachement toxique ne peut fortifier une relation. Toutefois, la forme d’attachement heureux qui est exprimé par le lien affectueux et amoureux est quant à lui source de grands bonheurs.

Besoin d’aide pour y voir plus clair ? ici

 

 

 

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Retrouver sa respiration, sa voix et son second souffle régénérateur.

Libération du Diaphragme, du Plexus Solaire et de la Voix c’est possible.

Bernard Tisne Rebouteux & Osthéophate , à développer une méthode respiratoire  unique de déblocage du diaphragme et de la Voix et ce n’est pas de l’Ostéopathie ou une nouvelle méthode de Continuer la lecture

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SE SÉPARER POUR POUVOIR TISSER LES LIENS

Se séparer…. pour conjuguer

 

Sortir du phantasme « tu es tout pour moi, je suis tout pour toi » l’idéal de l’amour imaginaire !

Se séparer et avoir les moyens de choisir ses proches au lieu de les subir, l’idée n’est pas neuve.

Rousseau disait déjà que « l’enfant devenu adulte était désormais apte à nouer d’autres liens avec ses parents, consciemment et librement, voulus cette fois ».

Dans son discours sur l’inégalité parmi les hommes, il précisait « chaque famille devient une petite société d’autant mieux unie que l’attachement Continuer la lecture

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COMMENT LA CONNAISSANCE VIENT AU GENS

JE VAIS VOUS RACONTER UNE HISTOIRE PARCE QU’ELLE TRAITE DE LA FAÇON DONT LA CONNAISSANCE VIENT AUX GENS

il y a bien longtemps, le monde était plongé dans le noir, il n’y avait de lumière nul part. Tout le monde ne cessait de se cogner contre les choses, et plus d’une tête était Continuer la lecture

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POURQUOI LE MANQUE FAIT MAL ?

QUAND NOUS RESSENTONS LE VIDE, NOUS AVONS MAL! POURQUOI ?

Parce que auparavant il y a eu relation satisfaisante. C’est par rapport à une lien affectif et agréable qu’émerge le sentiment douloureux d’en être privé. Quand on nie cette souffrance (un de perdu dix de retrouvés) (même pas mal!) , on s’installe dans un fantasme d’autosuffisance. Dans le pire des cas, on fait une croix sur tout amour ou amitié à venir. Le « pas besoin de lui, d’elle » se transforme peu à peu en « pas besoin des autres ».

Paradoxalement, accueillir avec lucidité la conscience du vide permettra de donner un lieu intérieur à son désir. Et la capacité d’aspirer Continuer la lecture

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TRAVERSER LA PEUR D’ÊTRE ABANDONNER

LA PEUR D’ÊTRE ABANDONNER

La plus petite avancée sur le chemin de solitude peut déclencher la peur panique d’être abandonné, c’est l’indice qu’on l’a déjà été. Bien des parents tombent des nues quand l’enfant devenu adulte, leur révèle un sentiment abyssal d’abandon dans telle ou telle circonstance familial.

A regarder l’omniprésence de la peur de l’abandon, je pense que la majorité des adultes, malgrè leur bonne volonté, leurs bonnes intentions, passe à côté du vécu de leur enfants.

Pourquoi ?

D’une part, ceux-ci n’ont pas de mots pour le décrire et apprennent vite à ne rien montrer; D’autre part, comment les parents le devineraient-ils, y seraient-ils sensibles quand eux mêmes ont étouffé depuis longtemps un vécu similaire. On n’est pas sourd et aveugle à ce que vit son enfant sans être soi même sourd et aveugle à ce qu’on a soi même vécu enfant.

c’est jusque là qu’il nous faut chercher la racine du besoin de fusionner : le manque aujourd’hui est insupportable parce que l’abandon d’hier à été dévastateur.

Dans le pire des cas, on en est « mort » on fera tout pour combler le manque actuel plutôt que d’avoir à revisiter l’abîme que l’on porte en soi

De nombreux couples, familles, amitiés sont ainsi parasités par une peur dont le ou les partenaires, souvent, ne sont pas même conscients. L’angoisse de perdre autrui, de manquer de lui, alimente alors des comportements de possessivité et de dévoration.

Quand on s’en aperçoit et qu’on désir sincèrement sortir de cet emprisonnement, que l’on veut grandir , devenir capable d’assumer ce manque, la tâche parait gigantesque.

D’expérience, je ne crois pas que l’on puisse y arriver seul. Le vertige est tel que l’existence de quelques autres bien différenciés constitue l’unique repère. Eux sont bien là, la relation avec eux tient bon, on peut descendre dans ce vide redoutable qui n’est pas le leur.

Donc au moment même ou l’humain prend conscience de son manque (symboliquement le vide en soi ou encore une côte en moins) arrive Continuer la lecture

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