Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

LYDIA BOUSQUET Psychothérapeute SAINT ALBAN-LEYSSE 73230 vous accompagne: dans vos difficultés relationnelles dans toutes les sphéres de votre vie; dans vos préparations mentales sportives et vous coach pour mincir durablement avec avec une nouvelle approche intégrative de psychonutrition. CONTACT : 06 08 57 02 50

 Psychologie – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel – Préparation mentale – Méditation – Psychonutrition & Coaching minceur

NOTRE CORPS ORGANIQUE: LE CORPS PHYSIQUE

Notre bonne santé physique est le prérequis de tout travail sur soi !

Prendre soin de son corps : une responsabilité physique et énergétique qui incombe à l’être humain.

LE CORPS PHYSIQUE, NOTRE CORPS ORGANIQUE

Comme vous le savez, il fait d’organes, d’os, de sang dont la peau constitue l’enveloppe physique.
Cette peau est subtilement doublée par ce que certains appellent le corps éthérique. Il est plus exact de parler de substance éthérique, une substance éthérée, vaporeuse, qui forme autour de nous ce qu’on appelle communément l’aura. Cette substance éthérique est la résultante du tissage de nos différents corps énergétiques avec le corps physique. En ce sens, elle est la passerelle subtile entre notre monde intérieur et sa manifestation physique.

Si les énergies de nos autres corps sont l’essence de notre multi-dimensionnalité humaine, et si la substance éthérique est le contenant subtil de ces énergies, le corps physique lui, en est le véhicule jusqu’à notre dernier souffle. Et sans un véhicule en bon état, comment tenir la route ? Comment mettre de l’énergie dans le dépassement de soi quand on est malade ?

Sur le plan spirituel, honorer son corps, c’est honorer la vie… et diminuer le trou de la sécurité sociale, car en prenant grand soin de son véhicule qui nous est donné, on se maintient dans la meilleure santé possible. Il est donc important d’être vigilent à notre nourriture, et de manger des aliments qui comblent nos besoins nutritionnels. 

Manger pour se nourrir, et non pas manger pour combler d’autres manques… Faites attention! à se que vous mettez comme carburant dans votre véhicule !
Trouver l’équilibre entre l’action et le repos qui vous convient le mieux !

LES 7 CORPS OU CHAMPS ÉNERGÉTIQUES

SCHÉMA DE NOS 7 CORPS ÉNERGÉTIQUES

 

Être vivant, c’est avoir des sensations organiques, mais aussi des émotions. Être traversé par des pensées, mais aussi par des idées, des états d’âme, des rêves, des inspiration.

Est-c que vous percevez que toutes ces activités humaines se vivent sur des plans différents ?
Comme si nous avions plusieurs corps…et bien, ce « comme si » est une réalité: la réalité énergétique du corps.

Même si nous n’avons que le corps physique pour en rendre tangiblement compte, nous avons de fait, plusieurs corps énergétiques, dits corps subtils. La tradition en Continuer la lecture

ÊTES-VOUS DANS L’INSATISFACTION PERMANENTE ?

Nous avons tous un petit côté perfectionniste, envie de bien faire, de se dépasser pour ce qu’on aime. Mais parfois, ce perfectionnisme vire à l’insatisfaction permanente, nous connaissons tous des éternels insatisfaits.

Qu’est-ce qui ce cache derrière le perfectionnisme ?
Selon les spécialistes, le perfectionnisme se définit « comme  le besoin de faire quelque chose qui tend vers la perfection, faire du mieux possible »

Est-ce un défaut ou une qualité  ? Continuer la lecture

LA PISTE DU TEMPS

En thérapie nous utilisons deux pistes du temps.

    1. La piste du temps du patient

    La piste du temps de l’archiviste

Le temps est invisible, mais la conscience du « JE », peut y retourner.
un schizophrène, par exemple, est à l’extérieur de la piste du temps, il ne peut pas y retourner.

Le JE peut y retourner, si il n’y arrive pas, c’est qu’il est coincé dans le temps présent ou dans un nœud énergétique que l’on peut aussi appeler engramme. Blocage du flux énergétique, émotion non résolue et ADN enchevêtrées. Nous savons aujourd’hui que L’ADN humain  influence la matière dont le monde est fait. Ces blocages peuvent provenir aussi d’expériences vécues que du transgénérationnel.

Le rôle du thérapeute est d’aider le patient à démêler ces blocages  pour accéder à des sentiments d’amour profond et d’appréciation pour pouvoir modifier intentionnellement la forme de l’ADN.

LE MYTHE DE L’AMOUR SANS CONFLIT

LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE : Le mythe de l’amour sans conflit

Qui ne rêve pas d’un couple tellement harmonieux qu’il n’y aurait jamais d’éclat, de mot plus haut que l’autre, de crispations…?
Les choses couleraient naturellement, sans vague, sans tempête ni courant fort. Un couple qui résoudrait intuitivement tous ces désaccords, sans heurt: « Nous nous aimons tellement que nous arrivons à être toujours d’accord. »
Certains vont en effet jusqu’à ce persuader de cela et affirmer que leur complicité est telle qu’ils se comprennent sans même se parler tout le temps. Nous sommes nombreux à fantasmer sur ce type de couple. Vous en rêvez surement aussi, et pourtant , vous constatez que cela ne fonctionne pas toujours si bien dans votre quotidien…

Avant de comprendre cette tension entre un amour « parfait » et la réalité, posez-vous Continuer la lecture

LA FRATRIE A L’ÉPREUVE DU TEMPS

On peut aimer une amie comme une sœur, mais on peut aussi se détesté comme des frères ennemis.

Nous pouvons considérer que tout commence par un sentiment de trahison, qui s’il se calme pendant de nombreuses années, risque de resurgir violemment Continuer la lecture

LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND – Enjeu du tribunal moral

LE BON, LA BRUTE OU LE TRUAND

LE BIEN, LE FORT ET LE MAL

Nos interactions forment l’enjeu du tribunal moral

 
Le discours sur les intentions engendre un pataquès inextricable, où le fait d’imputer directement à nous même ou à nos proches ce qui nous fait mal revient à augmenter la souffrance.
Cette contradiction aggrave hyperboliquement la souffrance, puisqu’elle implique que nous ne pouvons pas en même temps être liés par des liens d’affections (amis, amants, parents, frères, sœurs, etc) alors qu’entre nous, il se passe « ça, l’anomalie, l’accident dont la conscience ne peut pas plus douter que de sa propre souffrance » (le grain de sable qui désorganise le système, la goutte d’eau qui fait déborder le vase, l’opinion différente etc).
 
Par exemple :
Dire à une personne qu’elle se trompe sur ce qu’elle est, sur ce qu’elle sent, sur ce qu’elle veut, c’est la destituer de son statut de première personne, ce qui reviens ni plus ni moins à dire JE à sa place. Cette substitution à la conscience de soi rend littéralement fous les humains; elle revient à leur révéler qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur identité. Il y a là une telle violence que ceux qui la commettent, c’est à dire presque tout le monde, devraient être condamnés à des pénalités de silence.
 
Mais condamnés par qui ?
Par ceux d’en face, qui font la même chose ?
 
Pour résoudre cette contradiction entre son objet d’amour et sa souffrance, surtout lorsque cette contradiction est très frontale, très simplifiée, la conscience individuelle incline tout naturellement à s’attaquer à l’image de l’autre: voilà pourquoi elle parle à sa place et lui explique ses intentions à lui (l’autre), du point de vue de sa souffrance à elle (conscience).
Tel est l’enjeu du tribunal moral, où il nous arrive d’adopter l’attitude de juges les uns envers les autres. Avant d’aborder les notions de non jugement, il est indispensable d’avoir admis ceci, qui me semble être l’un des piliers d’une éthique des interactions:
 
La souffrance Précède l’évaluation.
 
En d’autres termes, les humains ne se posent pas la questions « du bien et du mal ». Le problème qu’ils rencontrent régulièrement est plutôt :
 
Pourquoi ai-je mal ?
Où est le mal ?
 
Il semble donc essentiel de ne pas préjuger de l’intention de l’autre, mais de regarder la brèche ou est venue s’engouffrer notre souffrance.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Madame aidez-moi, je suis trop sensible !

Le nombres de personnes qui me consulte, parce qu’ils se pensent trop sensibles invitent à une étude de la question.


Comment peut-on se blâmer d’être « trop » sensible, alors que c’est par là que l’existence révèle tout son relief et que la beauté de la vie prend son sens ?

Ne serait-il pas plus fécond de considérer que tous les individus humains sont sensibles, même s’ils ne le sont pas aux mêmes choses ?

Ne sommes-nous pas des êtres si extraordinairement complexes qu’aucune sciences n’est
encore parvenue à nous cerner ?

Nous sommes susceptibles d’être étudies par notre morphologie, notre physiologie, notre neurologie, notre chimie, notre psychologie, notre génétique, mais aussi du point de vue de mouvements historiques, sociologiques, linguistiques, symboliques , astrologique et ainsi de suite à perte de vue. Du fait de leur nombre et de leur diversité, les interactions qui définissent l’humanité font de chaque individu un système qui évolue en permanence. Tout comme notre système solaire. Or le principe d’un système est qu’une modification d’un des éléments engendre des changements chez tous les autres, qui en retour agissent sur lui.

Par exemple: lorsqu’une contrariété professionnelle nous chagrine dans l’après midi, il est difficile d’empêcher qu’elle n’ait des effets le soir, sitôt qu’une chambre ou une vaisselle à ranger font déborder le vase. Cela montre que les systèmes sont d’autant plus instables que nos interactions sont très nombreuses, très hétérogènes et se déploient dans toutes les dimensions. Comme elles ne cessent d’interférer entre elles, elles engendrent des anomalies et des effets-retours parfois productifs, parfois destructeurs: le système tout entier peut être désorganisé par presque rien.

Si nous voulons commencer à nous comprendre nous-même, il vaut donc la joie de recourir à tous les moyens dont nous disposons, qu’ils soient rationnels ou mystiques pour aborder les systèmes.

Il n’y a pas de règle absolue , seules des portes qui ouvrent à une meilleure connaissance de soi.

On peut avoir recours au subconscient qui nous manipulent à 95% avec la sophrologie, l’hypnose, la psychologie énergétique, la répétition.  Ces connaissances permettent  de déprogrammer un système défaillant, pour reprogrammer une dynamique plus en adéquation avec qui nous sommes vraiment.

 

L’ENFER

L’ENFER

L’enfer, c’est toujours de faire les choses en s’en foutant
C’est de vivre en pensant à autre chose
L’enfer c’est de ne jamais être là, mais toujours un peu en avant ou après
L’enfer c’est de regretter quelque chose et d’en attendre une autre
C’est de ne pas écouter l’autre quand on vous parle, parce qu’on s’emmerde partout et qu’on n’a pas de raison que ça s’arrête
L’enfer, c’est la vie gâchée à attendre la vie
L’enfer c’est la pensée gâchée à penser à autre chose. C’est là ou l’on voit les choses interminables. On l’on voit le temps passer.
Le temps passe toujours trop lentement, ou les journée sont interminables comme des siècles.

Dès que l’on ne voit plus le temps passer, c’est qu’on est passé à l’intérieur.
Là, tout s’allume, tout s’illumine

Le royaume, c’est un état que l’on atteint quand on ne voit pas le temps passer
C’est comme la fête ou l’amour mais transférer à tous les moments de la vie.

 

 

 

 

 

LA FRATERNITÉ

Développement de la conscience et de la connaisance

Chacun doit travailler à son propre développement, à condition qu’il ne le fasse pas uniquement pour lui même. Que sa conscience et sa connaissance illumine également le bien de la collectivité.  A ce moment là, la collectivité devient une fraternité où règne une véritable cohésion, parce qu’en travaillant pour lui même, chaque individu travaille aussi consciemment pour le bien de tous.

« Il existe un remède universel pour rétablir la santé et l’équilibre dans l’organisme. Ce remède c’est l’amour. La vie et l’amour sont liés, et pour que l’amour circule en abondance, il faut appeler l’amour. La voie , voix du cœur.  Oui la vie naît de l’amour. Là où il y a de l’amour, il y a de la vie. Là ou l’amour diminue, c’est la mort qui approche. Toutes les religions nous enseigne l’amour envers Celui qui donne la vie. Cet Être qui remplit l’univers, nous pouvons Le trouver partout. Il est dans la terre, dans les plantes, dans l’eau, dans l’air, dans le feu, dans l’organisme des animaux, dans notre organisme, dans le soleil, dans les étoiles, partout. (Omraam Mikhaêl Aïvanhov)