LE MYTHE DE L’AMOUR SANS CONFLIT

LA VIE EST UN LONG FLEUVE TRANQUILLE : Le mythe de l’amour sans conflit

Qui ne rêve pas d’un couple tellement harmonieux qu’il n’y aurait jamais d’éclat, de mot plus haut que l’autre, de crispations…?
Les choses couleraient naturellement, sans vague, sans tempête ni courant fort. Un couple qui résoudrait intuitivement tous ces désaccords, sans heurt: « Nous nous aimons tellement que nous arrivons à être toujours d’accord. »
Certains vont en effet jusqu’à ce persuader de cela et affirmer que leur complicité est telle qu’ils se comprennent sans même se parler tout le temps. Nous sommes nombreux à fantasmer sur ce type de couple. Vous en rêvez surement aussi, et pourtant , vous constatez que cela ne fonctionne pas toujours si bien dans votre quotidien…

Avant de comprendre cette tension entre un amour « parfait » et la réalité, posez-vous Continuer la lecture

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Madame aidez-moi, je suis trop sensible !

Le nombres de personnes qui me consulte, parce qu’ils se pensent trop sensibles invitent à une étude de la question.


Comment peut-on se blâmer d’être « trop » sensible, alors que c’est par là que l’existence révèle tout son relief et que la beauté de la vie prend son sens ?

Ne serait-il pas plus fécond de considérer que tous les individus humains sont sensibles, même s’ils ne le sont pas aux mêmes choses ?

Ne sommes-nous pas des êtres si extraordinairement complexes qu’aucune sciences n’est
encore parvenue à nous cerner ?

Nous sommes susceptibles d’être étudies par notre morphologie, notre physiologie, notre neurologie, notre chimie, notre psychologie, notre génétique, mais aussi du point de vue de mouvements historiques, sociologiques, linguistiques, symboliques , astrologique et ainsi de suite à perte de vue. Du fait de leur nombre et de leur diversité, les interactions qui définissent l’humanité font de chaque individu un système qui évolue en permanence. Tout comme notre système solaire. Or le principe d’un système est qu’une modification d’un des éléments engendre des changements chez tous les autres, qui en retour agissent sur lui.

Par exemple: lorsqu’une contrariété professionnelle nous chagrine dans l’après midi, il est difficile d’empêcher qu’elle n’ait des effets le soir, sitôt qu’une chambre ou une vaisselle à ranger font déborder le vase. Cela montre que les systèmes sont d’autant plus instables que nos interactions sont très nombreuses, très hétérogènes et se déploient dans toutes les dimensions. Comme elles ne cessent d’interférer entre elles, elles engendrent des anomalies et des effets-retours parfois productifs, parfois destructeurs: le système tout entier peut être désorganisé par presque rien.

Si nous voulons commencer à nous comprendre nous-même, il vaut donc la joie de recourir à tous les moyens dont nous disposons, qu’ils soient rationnels ou mystiques pour aborder les systèmes.

Il n’y a pas de règle absolue , seules des portes qui ouvrent à une meilleure connaissance de soi.

On peut avoir recours au subconscient qui nous manipulent à 95% avec la sophrologie, l’hypnose, la psychologie énergétique, la répétition.  Ces connaissances permettent  de déprogrammer un système défaillant, pour reprogrammer une dynamique plus en adéquation avec qui nous sommes vraiment.

 

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L’ENFER

L’ENFER

L’enfer, c’est toujours de faire les choses en s’en foutant
C’est de vivre en pensant à autre chose
L’enfer c’est de ne jamais être là, mais toujours un peu en avant ou après
L’enfer c’est de regretter quelque chose et d’en attendre une autre
C’est de ne pas écouter l’autre quand on vous parle, parce qu’on s’emmerde partout et qu’on n’a pas de raison que ça s’arrête
L’enfer, c’est la vie gâchée à attendre la vie
L’enfer c’est la pensée gâchée à penser à autre chose. C’est là ou l’on voit les choses interminables. On l’on voit le temps passer.
Le temps passe toujours trop lentement, ou les journée sont interminables comme des siècles.

Dès que l’on ne voit plus le temps passer, c’est qu’on est passé à l’intérieur.
Là, tout s’allume, tout s’illumine

Le royaume, c’est un état que l’on atteint quand on ne voit pas le temps passer
C’est comme la fête ou l’amour mais transférer à tous les moments de la vie.

 

 

 

 

 

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LES EMPRISES NÉGATIVES SONT UNE MÉPRISE

Vous devez prendre conscience des dangers qu’il y a à rester longtemps sous l’emprise de pensées, d’émotions et de sentiments négatifs. On ne peut éviter d’éprouver des déceptions, des chagrins, de l’irritation, mais il faut tout faire pour ne pas rester là, car on finit par être complètement ligoté, submergé. Vous devez profiter du laps de temps où il est encore facile de vous dégager, car vous n’êtes pas de taille à lutter.

Se débattre dans l’obscurité n’a jamais fait jaillir la lumière : il faut sortir de cette situation. Si vous restez longtemps dans le mécontentement, la jalousie, la rancune, la colère, ce sont eux qui finiront par avoir le dessus et par vous détruire. Il faut tout de suite essayer d’échapper à ces états, aller plus haut et les remplacer par des pensées et des sentiments positifs, c’est ainsi que vous serez sauvé.

Commencez la journée en vous disant que vous allez vivre avec amour, manger, respirer avec amour. Vous pensez que vous savez tout cela…non vous ne le savez pas. Quand vous commencerez à comprendre vraiment, avec tout votre être, ce qu’est de vivre avec amour, toute votre vie sera changée. L’amour jaillira sans arrêt du matin au soir, et m^me quand vous dormirez.

Vivre avec amour, c’est vivre dans un état de conscience qui harmonise tous les actes de la vie, qui maintient l’être dans un parfait ^état d’équilibre, un état de conscience qui est une source de joie, de force, de santé.

Vivre avec l’amour c’est savoir que le seul problème est la séparation et que la solution a se problème est l’union, l’unité, le tout.

Tous veulent être appréciés et reconnus pour ce qu’ils font, et s’il ne le sont pas, ils sont déçus, aigris, il se rongent. Eh bien, voilà une faiblesse dont il faut se débarrasser. Du moment ou l’on est conscient que son activité est bénéfique, désintéressée, lumineuse, et que l’on a confiance dans les lois cosmiques, on sait qu’un jour ou  l’autre on recevra l’estime et la place que l’on mérite.

Si il y a une chose à laquelle vous devez croire, c’est à l’existence des lois de l’univers. UNI VERS.

Vous prononcez un mot, vous faites un geste, vous avez un désir, une pensée : aussitôt ils sont classés, et il produisent des résultats. C’est sur ces lois qu’ils faut compter, car tout peut changer autour de vous, sauf ces lois: elles vous enverront un jour ou l’autre exactement ce que vous méritez, d’après la façon dont vous aurez travaillé. Ne comptez dont sur rien d’autre que votre travail.

Et votre travail, c’est de cultiver votre force intérieur. Pour dépasser son égo, il faut d’abord qu’il soit solide. Pour s’oublier il faut être très fort!

Écoutez vos symptômes, ils sont porteurs de messages, des jeux de piste vers le JE RÉEL
Chaque maladie concrète ou potentielle est le témoin de notre état. La maladie c’est la masse conflictuelle qui n’a pas été réglée. Parfois elle est le seul moyen de nous faire REVOIR la réalité et enfin sortir de l’illusion.

La thérapie à pour but de sortir du conflit  OUI MAIS pour aller vers le OUI ET et enfin pouvoir dire un OUI plein !

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SYSTÈMES FAMILIAUX, SYSTÈMES COLLECTIFS ET STRESS

L’un des concepts fondamentaux de la théorie des systèmes familiaux est celui de la différenciation, définie, « comme la capacité d’être en relation émotionnelle avec les autres tout en demeurant autonome dans son fonctionnement émotionnel ».

Une personne peu différenciée « ne reconnait pas de limite émotionnelle entre elle même et les autres, ni celle qui empêche ses processus mentaux d’être submergés  par ses processus émotionnels. Elle absorbe automatiquement l’anxiété des autres et génère une anxiété considérable en elle même. » Continuer la lecture

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QU’EST-CE QUE VAUT LA VIE ?

Qu’est-ce que vaut la vie, si vous n’êtes pas fidèle à vos convictions ?

MON CHEMIN ET CE QUE LA VIE M’A APPRISE!

Une existence est faite d’éléments contradictoires. Quand on en parle, on l’air d’être devenu ondoyant. On affirme un jour le malheur, le lendemain dans un autre contexte, on dira exactement le contraire. Ce n’est qu’une apparence. Seules les circonstances ont changé. LA VIE EST UNE LIGNE CONTINUE.

Tout se tient, tout est dans tout; cela nous a constitué.

Nous sommes façonnés par notre environnement; en même temps, nous le façonnons! C’est pour moi la m^me évidence au sujet de Dieu. Il nous crée et nous le créons aussi.

Il est plus facile de se plier au circonstance que de vouloir les plier. La ligne n’est pas rompue pour autant. Les autres ne la décèle pas toujours. Elle est notre refuge intérieur. Notre permanence.

QUE TROUVE T-ON DANS CE REFUGE ?

Nos certitudes;
pour les uns la vie illimitée, Dieu, ceux que l’on a aimés qui sont partis … pour les autres le silence.

Quand l’aide arrive, on le sait, on le sent, on l’accepte. On ne peut pas faire autrement que l’accepter, de dire : c’est bien, c’est bien ça, de dire Merci; Il y a toujours une aide à notre portée.

Nous avons les clés et nous ne les voyons pas. Il faut croire aux clés. La première chose à faire, c’est d’être persuadés que nous sommes, que nous serons aidés. Si nous ne voyons que le mal, que la peine, tout ce qui est négatif, nous fermons la porte au secours, nous nous enfermons par égoïsme, par impuissance dans une coquille impénétrable et nous étouffons.

 

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QU’EST CE QUE LA SANTÉ?

La santé est présente et nous obsède de plus en plus. Mais qu’est ce que la santé ?

La santé est vue comme l’état naturel de tout quand l’interprétation est laissée à un esprit sain qui ne perçoit pas l’attaque sur qui que ce soit .

La santé est le résultat du renoncement à toute tentative pour utiliser le corps sans amour.

La santé est le commencement de la façon correcte de voir la vie sous la seul direction de l’Enseignant qui connaît ce qu’est la vie, étant la voix, voie pour la vie même.

Le corps est le moyen de communication de l’amour, la joie, la vie.

Pour être en santé, il est emportant de consulter le cœur qui a deux voix,

  1. celle de l’amour de la vie
  2. Celle de la peur de la vie

La joie est l’opposée de la dépression.

Nous comprenons mieux le « connait toi toi même, tu connaitras l’univers des Dieux ».

Ma prière du jour

Que chacun puisse rencontrer l’enseignement qui réintègre l’amour, la paix et la joie .
Que les perceptions du corps soient le reflet de la juste interprétation de votre esprit sain pour la santé de de l’humanité, des animaux et de notre chère planète unie au cosmos.

 

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POURQUOI TANT DE DÉPRESSION ?

Au cœur de notre société existe un aspirateur spirituel responsable d’une tristesse diffuse. Notre civilisation est imprégnée d’une vision du monde déprimante. Une interprétation mécanique, matérialiste, qui nous apprend à considérer les gens comme des machines de guerre et non comme des êtres multidimensionnels. Comme des corps, et non comme des esprits. Cet état d’esprit qui se répand de plus en plus dans le monde, cette  pensée dualiste, séparatiste, déprécie ce que nous sommes réellement. Chaque jour, tout au long de notre vie, nous nous éloignons de notre véritable nature.

Vivre dans ce monde est en soi un traumatisme émotionnel. Mais cette déconnexion des autres, de soi-même, de la nature et des forces cosmiques universelles, au sens de toute réalité transcendante, n’est pas due à un évènement spécifique brutal.

C’est au contraire le traumatisme continuel d’une vie à ce point déconnectée de l’amour. Nous ne sommes donc pas seulement déprimés à cause d’une difficulté spécifique, nous ne sommes pas seulement déprimés en tant qu’individus, notre dépression est d’ordre collectif! et le collectif à le pouvoir de re naitre de cette aliénation. Continuer la lecture

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LAISSER ENTRER LA TRISTESSE

voyage spirituel

La douleur émotionnelle n’est pas seulement un problème d’ordre psychologique. C’est un problème spirituel. La dépression est peut-être, ou pas un trouble cérébral, mais elle est certainement une affection de l’âme. Il est impossible de s’en débarrasser en s’en remettant simplement à la médecine ou à la psychothérapie traditionnelle. Comment une méthode qui ne reconnait pas l’existence de l’âme pourrait-elle la guérir?

Au cours de ces dernières décennies, le corps médical s’est approprié la question de la dépression en dissociant artificiellement les termes « tristesse » et « dépression », ce qui est d’aucune utilité, sauf pour l’industrie pharmaceutique. Cette dissociation est une construction manipulatrice, qui sert la vente des traitements médicaux, mais n’apporte tien au traitement du problème. Les gens parlent à présent de « dépression clinique » comme si cette maladie était détectable à l’aide d’une prise de sang. On pourrait donc dépister la dépression en cochant les cases d’un questionnaire.

Évidemment les gens ont besoins parfois de toute l’aide possible, médicamenteuse ou autre, et le traitement médicalisé de certains troubles mentaux tel que le désordre bipolaire ou la schizophrénie, peut sauver des vies. Mais bien que dans certains cas l’utilisation de médicaments puisse être efficace, voire vitale, cette consommation irréfléchie d’antidépresseur en constante augmentation n’est certainement ni efficace ni vitale.

Aujourd’hui, des centaines de milliers personnes, après avoir simplement mentionné à une ou deux reprises qu’elles traversaient une période difficile, sortent de chez le médecin avec une ordonnance entre les mains. Nous sommes bombardés de tous les cotés par l’illusion d’une vie plus heureuse grâce à la chimie.

Tous ceux qui traversent une période difficile, voire très difficile, ne sont pas atteints de maladie mentale. Il est important de ne pas minimiser les questions de santé mentale, mais il est tout aussi essentiel de ne pas pathologiser ) outrance la souffrance humaine. La vie peut être douloureuse. Le passage à l’âge adulte est difficile, mais ce n’est pas une pathologie mentale. Un divorce est difficile mais ce n’est pas une défaillance mentale. Le deuil d’un proche est douloureux, mais ce n’est pas un trouble mental. S’il en est une, la seule pathologie mentale est cette idée pernicieuse que la profonde souffrance en est une.

Une vision du monde trop tournée vers l’extérieur nous éloigne de notre âme, notre essence et engendre de la souffrance. Ce n’est qu’en nous connectant à notre âme par la voie du cœur associé à notre cerveau que nous pourrons nous libérer de la douleur. Récupérer notre âme ne se fait pas en versant de la lumière sur notre obscurité, mais en exposant progressivement notre obscurité à la lumière. Nous devons exhumer nos zone d’ombre, notre résistance à l’amour, pour les libérer. Et ce processus ne nous rend pas forcement heureux. Mais en évitant la tristesse, nous évitons notre vie.

Éviter la tristesse amoindrit notre capacité d’apprendre d’elle. Comment comprendre profondément ce que nous n’avons pas réussi à voir ?

Tout comme les bébés développent les anticorps dont ils ont besoin qu’en étant exposés aux bactéries, les gens qui évitent à tout prix de souffrir ne développent pas les compétences émotionnelles nécessaires pour y faire face.

En reconnaissant la signification spirituelle de notre tristesse, nous trouvons sa place dans notre psyché et comme dans notre vie. Nous prenons conscience de ce qui nous à éloignés de l’amour, des autres, et donc des forces supérieures. Ainsi en reconnaissant la véritable racine de notre souffrance, nous retrouvons notre puissance et agissons sur le problème à l’endroit même ou il se trouve.

Cette proportion au « moi d’abord » est la cause de notre épidémie de malheur; En changeant notre attitude de façon collective, nous guérissons. Une société dont les systèmes sociaux et économiques nous incitent à vivre séparés d’avec soi même, es autres et de la terre sur laquelle nous vivons est une société qui n’apporte que de la souffrance.  C’est un monde malade, qui traite de fous ceux qui n’y trouve pas leur place. Essayer de s’adapter à une société dysfonctionnelle ne nous guérit pas de notre souffrance, c’est une façon pernicieuse d’aggraver notre désespoir.

D’un point de vue spirituel, l’humanité est atteinte de déficience cardiaque. Pour guérir d’une fracture, nous ne pouvons pas nous contenter d’avaler un antidouleur. Nous devons réparer l’os. Pour guérir notre cœur malade, avaler un antidouleur n’est pas non plus une réponse suffisante. Nous devons restaurer notre pensée.

Embrasser votre tristesse, elle vous en dira long sur la connaissance de soi.

Bonne méditation

 

 

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La voix du futur

Parler du futur, c’est user d’un langage à jamais en avance sur lui même, à propos d’évènements qui ne se sont pas encore produits, pour les assigner au passé, à un « déjà » éternellement retardataire.

ET c’est dans cet espace, entre le discours et l’acte, que s’ouvre une faille, et quiconque contemple un tel vide, ne fût-ce qu’un instant, est pris du  vertige de l’anxiété et se sent basculer dans l’abîme. La voix du futur, précurseur d’une attaque de panique pouvant déboucher sur une dépression si l’on s’y  accroche.

 

 

 

 

 

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