|
Archives par mot-clé : hypnose
LA PERFECTION
Après l’éblouissement des débuts, la réalité d’une relation qui vous tient à coeur laisse apparaître les premières ombres.
Vous constatez que ça grippe un peu, que quelque chose bloque : la route de l’intimité ne se poursuit plus toute seule, fluide comme au commencement. Cela vous peine, vous désole. Attention, vous n’êtes pas loin de « tomber en déception ».
Ou alors vous êtes déçu de vous-même: vous êtes retombé dans de vieux comportements et vous vous retrouver face à des schémas répétitifs que vous connaissez trop bien.
Dans les deux cas, vous Continuer la lecture
LA PISTE DU TEMPS
En thérapie nous utilisons deux pistes du temps.
-
- La piste du temps du patient
- La piste du temps de l’archiviste
Le temps est invisible, mais la conscience du « JE », peut y retourner.
un schizophrène, par exemple, est à l’extérieur de la piste du temps, il ne peut pas y retourner.
Le JE peut y retourner, si il n’y arrive pas, c’est qu’il est coincé dans le temps présent ou dans un nœud énergétique que l’on peut aussi appeler engramme. Blocage du flux énergétique, émotion non résolue et ADN enchevêtrées. Nous savons aujourd’hui que L’ADN humain influence la matière dont le monde est fait. Ces blocages peuvent provenir aussi d’expériences vécues que du transgénérationnel.
Le rôle du thérapeute est d’aider le patient à démêler ces blocages pour accéder à des sentiments d’amour profond et d’appréciation pour pouvoir modifier intentionnellement la forme de l’ADN.
LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND – Enjeu du tribunal moral

LE BON, LA BRUTE OU LE TRUAND
LE BIEN, LE FORT ET LE MAL
Nos interactions forment l’enjeu du tribunal moral
Madame aidez-moi, je suis trop sensible !
Le nombres de personnes qui me consulte, parce qu’ils se pensent trop sensibles invitent à une étude de la question.
Comment peut-on se blâmer d’être « trop » sensible, alors que c’est par là que l’existence révèle tout son relief et que la beauté de la vie prend son sens ?
Ne serait-il pas plus fécond de considérer que tous les individus humains sont sensibles, même s’ils ne le sont pas aux mêmes choses ?
Ne sommes-nous pas des êtres si extraordinairement complexes qu’aucune sciences n’est
encore parvenue à nous cerner ?
Nous sommes susceptibles d’être étudies par notre morphologie, notre physiologie, notre neurologie, notre chimie, notre psychologie, notre génétique, mais aussi du point de vue de mouvements historiques, sociologiques, linguistiques, symboliques , astrologique et ainsi de suite à perte de vue. Du fait de leur nombre et de leur diversité, les interactions qui définissent l’humanité font de chaque individu un système qui évolue en permanence. Tout comme notre système solaire. Or le principe d’un système est qu’une modification d’un des éléments engendre des changements chez tous les autres, qui en retour agissent sur lui.
Par exemple: lorsqu’une contrariété professionnelle nous chagrine dans l’après midi, il est difficile d’empêcher qu’elle n’ait des effets le soir, sitôt qu’une chambre ou une vaisselle à ranger font déborder le vase. Cela montre que les systèmes sont d’autant plus instables que nos interactions sont très nombreuses, très hétérogènes et se déploient dans toutes les dimensions. Comme elles ne cessent d’interférer entre elles, elles engendrent des anomalies et des effets-retours parfois productifs, parfois destructeurs: le système tout entier peut être désorganisé par presque rien.
Si nous voulons commencer à nous comprendre nous-même, il vaut donc la joie de recourir à tous les moyens dont nous disposons, qu’ils soient rationnels ou mystiques pour aborder les systèmes.
Il n’y a pas de règle absolue , seules des portes qui ouvrent à une meilleure connaissance de soi.
On peut avoir recours au subconscient qui nous manipulent à 95% avec la sophrologie, l’hypnose, la psychologie énergétique, la répétition. Ces connaissances permettent de déprogrammer un système défaillant, pour reprogrammer une dynamique plus en adéquation avec qui nous sommes vraiment.
COMMENT GUÉRIR NOS RELATIONS SENTIMENTALES
PROJECTION
Les relations sentimentales sont une cause majeur de souffrance. Chacun d’entre nous expérimente, à travers elles, les plus grandes joies mais aussi les peines les plus profondes: trahison, abandon, colère, haine, désillusions, sentiment d’échec…
Mais dans une relation, quand il y a de la souffrance, il ne peut pas y avoir de Vrai Amour : l’amour vrai est inconditionnel. Ou bien l’amour est joie et bonheur ou bien il n’est pas l’Amour Inconditionnel.
Quand il y a de la souffrance, c’est « l’amour de l’égo ». Ce que nous ressentons dans nos relations sentimentales, ce que nous croyons être de l’amour, Continuer la lecture
LAISSER ENTRER LA TRISTESSE
La douleur émotionnelle n’est pas seulement un problème d’ordre psychologique. C’est un problème spirituel. La dépression est peut-être, ou pas un trouble cérébral, mais elle est certainement une affection de l’âme. Il est impossible de s’en débarrasser en s’en remettant simplement à la médecine ou à la psychothérapie traditionnelle. Comment une méthode qui ne reconnait pas l’existence de l’âme pourrait-elle la guérir?
Au cours de ces dernières décennies, le corps médical s’est approprié la question de la dépression en dissociant artificiellement les termes « tristesse » et « dépression », ce qui est d’aucune utilité, sauf pour l’industrie pharmaceutique. Cette dissociation est une construction manipulatrice, qui sert la vente des traitements médicaux, mais n’apporte tien au traitement du problème. Les gens parlent à présent de « dépression clinique » comme si cette maladie était détectable à l’aide d’une prise de sang. On pourrait donc dépister la dépression en cochant les cases d’un questionnaire.
Évidemment les gens ont besoins parfois de toute l’aide possible, médicamenteuse ou autre, et le traitement médicalisé de certains troubles mentaux tel que le désordre bipolaire ou la schizophrénie, peut sauver des vies. Mais bien que dans certains cas l’utilisation de médicaments puisse être efficace, voire vitale, cette consommation irréfléchie d’antidépresseur en constante augmentation n’est certainement ni efficace ni vitale.
Aujourd’hui, des centaines de milliers personnes, après avoir simplement mentionné à une ou deux reprises qu’elles traversaient une période difficile, sortent de chez le médecin avec une ordonnance entre les mains. Nous sommes bombardés de tous les cotés par l’illusion d’une vie plus heureuse grâce à la chimie.
Tous ceux qui traversent une période difficile, voire très difficile, ne sont pas atteints de maladie mentale. Il est important de ne pas minimiser les questions de santé mentale, mais il est tout aussi essentiel de ne pas pathologiser ) outrance la souffrance humaine. La vie peut être douloureuse. Le passage à l’âge adulte est difficile, mais ce n’est pas une pathologie mentale. Un divorce est difficile mais ce n’est pas une défaillance mentale. Le deuil d’un proche est douloureux, mais ce n’est pas un trouble mental. S’il en est une, la seule pathologie mentale est cette idée pernicieuse que la profonde souffrance en est une.
Une vision du monde trop tournée vers l’extérieur nous éloigne de notre âme, notre essence et engendre de la souffrance. Ce n’est qu’en nous connectant à notre âme par la voie du cœur associé à notre cerveau que nous pourrons nous libérer de la douleur. Récupérer notre âme ne se fait pas en versant de la lumière sur notre obscurité, mais en exposant progressivement notre obscurité à la lumière. Nous devons exhumer nos zone d’ombre, notre résistance à l’amour, pour les libérer. Et ce processus ne nous rend pas forcement heureux. Mais en évitant la tristesse, nous évitons notre vie.
Éviter la tristesse amoindrit notre capacité d’apprendre d’elle. Comment comprendre profondément ce que nous n’avons pas réussi à voir ?
Tout comme les bébés développent les anticorps dont ils ont besoin qu’en étant exposés aux bactéries, les gens qui évitent à tout prix de souffrir ne développent pas les compétences émotionnelles nécessaires pour y faire face.
En reconnaissant la signification spirituelle de notre tristesse, nous trouvons sa place dans notre psyché et comme dans notre vie. Nous prenons conscience de ce qui nous à éloignés de l’amour, des autres, et donc des forces supérieures. Ainsi en reconnaissant la véritable racine de notre souffrance, nous retrouvons notre puissance et agissons sur le problème à l’endroit même ou il se trouve.
Cette proportion au « moi d’abord » est la cause de notre épidémie de malheur; En changeant notre attitude de façon collective, nous guérissons. Une société dont les systèmes sociaux et économiques nous incitent à vivre séparés d’avec soi même, es autres et de la terre sur laquelle nous vivons est une société qui n’apporte que de la souffrance. C’est un monde malade, qui traite de fous ceux qui n’y trouve pas leur place. Essayer de s’adapter à une société dysfonctionnelle ne nous guérit pas de notre souffrance, c’est une façon pernicieuse d’aggraver notre désespoir.
D’un point de vue spirituel, l’humanité est atteinte de déficience cardiaque. Pour guérir d’une fracture, nous ne pouvons pas nous contenter d’avaler un antidouleur. Nous devons réparer l’os. Pour guérir notre cœur malade, avaler un antidouleur n’est pas non plus une réponse suffisante. Nous devons restaurer notre pensée.
Embrasser votre tristesse, elle vous en dira long sur la connaissance de soi.
Bonne méditation
La voix du futur
Parler du futur, c’est user d’un langage à jamais en avance sur lui même, à propos d’évènements qui ne se sont pas encore produits, pour les assigner au passé, à un « déjà » éternellement retardataire.
ET c’est dans cet espace, entre le discours et l’acte, que s’ouvre une faille, et quiconque contemple un tel vide, ne fût-ce qu’un instant, est pris du vertige de l’anxiété et se sent basculer dans l’abîme. La voix du futur, précurseur d’une attaque de panique pouvant déboucher sur une dépression si l’on s’y accroche.
LE CONTRAIRE DU JEU N’EST PAS LE TRAVAIL !
En effet, d’après plusieurs études se rapportant à la philosophie de l’enseignement des écoles AGORA, il a été constaté que les enfants apprennent mieux lorsqu’ils sont libres, dans une communauté, tous âges et niveaux mêlés, avec des coachs et des moniteurs de Jeu. Il apparait que l’apprentissage ludique rend plus intelligent et plus heureux .
LE CONTRAIRE DU JEU N’EST PAS LE TRAVAIL! cette phrase à été écrite par le psychologue Brian Sutton-smith. Le contraire du jeu, c’est la dépression.
Quand nous voyons la façon dont travaillent beaucoup d’entre nous, sans liberté, sans jeu, sans motivation intrinsèque, il n’est pas surprenant qu’il y ai de plus en plus de gens dépressifs. L’Organisation Mondiale de la Santé déclarait le 30 mars 2017 dans « que la dépression est devenue l’épidémie numéro un au niveau mondial. Il semble qu’aujourd’hui elle soit détrônée, cependant elle n’est pas à négliger.
Notre plus grand déficit, ne se trouve pas dans le budget de l’état, mais en nous.
C’EST UN DÉFICIT DE SENS. UN DÉFICIT DE JEU!
QUE DISENT LES YEUX?
QUAND LA LUMIÈRE S’ÉTEINT
Avec le port du masque obligatoire, il nous reste à voir qu’une partie du visage ;
Et que voyons-nous ?
Dans une grande partie de ces yeux, la lumière est éteinte. La peur et l’obéissance ont remplacé l’intensité de notre flamme intérieure.
Ce qui nous amène à fonctionner de façon robotique.
Dans ses yeux-là, l’absence à soi-même est évidente. Comme s’ils avaient renoncé à toute verticalité, voir parfois à toutes pensées ou la conscience s’anéantit dans une matérialisation de plus en plus dense. Ce qui parfois donne le sentiment d’avoir à faire à des morts-vivants.
Dans d’autres yeux, nous lisons un intense désespoir et ceci quelles que soient les paroles qui s’échappent d’une bouche masquée et rendue absolument inaudible.
Il y a dans ces yeux, l’expression ‘une souffrance, celle d’une brisure profonde. La présence ne veut pas encore disparaître. Cette présence cherche par tous les moyens à éclairer la conscience.
Une lutte pour manifester sa présence dans le courant alternatif. Et cela donne le sentiment collectif, d’être à nouveau tombé dans un piège.
Cela pousse à observer ce paradoxe entre ce qu’on nous raconte et l’état même du RÉEL, et diffuse dans les consciences psychiques que quelque chose ne va pas, qu’il y a un manque de cohérence.
Est-ce que la nature de l’enjeu, n’est pas que sanitaire, mais bel et bien spirituelle ?
Nous voyons aussi dans ces yeux-là, des éclats intermittents de lumière d’affirmation de la présence.
Dans d’autres yeux, plus rares, la lumière de la présence est pleine et entière, la présence apparaît comme infiniment vivante, vibrante. Elle ne se laisse plus bernée par les ruses, elle a atteint une capacité de discernement, cela s’appelle simplement le bon sens, la capacité de voir l’évidence, et l’absence de peur projetée avec la clarté de conscience sur les enjeux actuels.
Lorsque nous voyons ces yeux, nous sentons qu’ils pétillent d’amour et de compassion pour l’humanité. Ces Êtres parlent à partir d’un lieu de paix et leurs simples champs de présences contribuent à éveiller ceux qui sont autour d’eux.
Dans ces yeux, l’Être rayonne.
Il n’y a ni colère, ni révolte, ni résistance.
Ces yeux qui sont de plus en plus nombreux, marquent l’échec du processus de contrôle collectif.
Ces yeux, chacun a leur manière sont les relais de la puissance collective dans notre incarnation. Il est évident pour eux que la seule chose à faire dans leur ligne de vie est de respecter leur intégrité, leur vérité intérieure, basée sur le réel et de l’annoncer aux autres.
Ces yeux sont ceux dont la parole est libre, n’ayant pas d’autres intérêts que celui de servir l’esprit.
Nous pouvons donc observer dans notre entourage entre la plus grande absence et la plus grande présence.
Il est important de reconnaître nos émotions, car chaque émotion est associée à une sensation au niveau du corps physique. Quand nous sommes heureux, nous ressentons une expansion qui apporte la joie et quand nous sommes en colère ou triste une contraction, c’est la CONSCIENCE
L’esprit se contracte et donne une fatigue née de la résistance au réel, aux choses et a cela s’ajoute une fatigue née de la résistance à soi.
LE SECRET de la présence, c’est l’acceptation de ce qui est sans s’identifier à l’émotion. Puis trois choix possibles, se retirer de la situation, changer ce que l’on peut changer ou accepter et assumer les conséquences de cette acceptation.
Plus vous êtes en contact avec le témoin ou l’observateur en vous, plus la présence se manifeste.
Simplement la nature du Réel, que sont l’amour et l’empathie qui s’expriment.
De tous mes vœux, j’aspire à ce que cette belle présence, la paix intérieure qui mène à la joie du cœur se réalise auprès d’un plus grand nombre d’individus, pour faire évoluer la conscience collective.
LBH