Psychologie énergétique & systémique Psychonutrition – Sophrologie – Hypnose – Développement relationnel Préparation mentale – Méditation

Psychothérapeute, philosophe de la relation et chercheuse en spiritualité, Lydia Bousquet découvre en chemin les limites d'une voie spirituelle qui gommerait l'autre au nom de Dieu, et le danger de perdre notre sens de l'humanité dans la quête d'absolu. C'est forte de cette intime conviction qu'elle vous accompagne au devenir amoureux et à l'incarnation de l'amour dans le champ relationnel dans toutes les spheres de votre vie. L'Amour ne garantit pas la compétence relationnelle, ça s'apprend ! CONTACT : 06 08 57 02 50

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POURQUOI UN ÂNE, UN BŒUF ET UN AGNEAU?

Pour ceux qui me connaissent, vous savez que je suis née avec un point d’interrogation gros comme la lune, et c’est  pour ça que je passe ma vie à chercher des réponses là ou d’autres voient des évidences.

Pourquoi un âne, un bœuf et un agneau dans la crèche ? Une plongée dans les symboles que nous répétons sans toujours en saisir le sens

Chaque année, en installant la crèche, nous plaçons ces trois figurines : l’âne, le bœuf et l’agneau. Mais pourquoi ces animaux-là ? Pourquoi ce trio, transmis de génération en génération, comme une évidence ? Derrière cette scène en apparence simple se cachent des couches de sens historiques, théologiques et symboliques, où les faits avérés dialoguent avec des métaphores profondes. Voici ce que ces animaux représentent, et pourquoi leur réunion continue de nous parler, bien au-delà du simple décor de Noël.


1. L’âne : l’humilité qui voit l’invisible

D’où vient-il ? Les Évangiles canoniques (Luc 2:7) mentionnent une mangeoire, suggérant une étable, mais pas d’animaux précis. C’est dans les (comme le , IIe siècle) que l’âne apparaît : Marie, enceinte, voyage vers Bethléem sur son dos. Ce détail a marqué l’art chrétien dès le IVe siècle (sarcophages paléochrétiens).

  • Source : Protoévangile de Jacques, chapitres 17-18 ; , Basilique Sainte-Marie-Majeure (Rome).

Ce qu’il symbolise vraiment :

  • Humilité et service : Animal modeste, souvent moqué, l’âne porte ce qui est sacré (Marie, puis Jésus). Dans le récit de (Nombres 22), il voit l’ange invisible au prophète — une métaphore de la perception du divin dans l’ordinaire.
  • Résilience : Dans le bouddhisme et le taoïsme, il incarne la patience face aux épreuves.
  • Reconnaissance : En islam, le Prophète interdit de le frapper au visage (Sahih Muslim), soulignant sa dignité.

Pourquoi ça nous touche ? L’âne, c’est cette part de nous qui reconnaît la lumière là où les autres ne la voient pas — dans le quotidien, l’ordinaire, voire le méprisé.


2. Le bœuf : la force qui persévère

D’où vient-il ? Aucun Évangile ne mentionne un bœuf dans la crèche. Sa présence vient d’une interprétation d’ : « Le bœuf connaît son maître, l’âne la crèche de son propriétaire, mais Israël ne me connaît pas. » Les Pères de l’Église (comme Saint Augustin) y ont vu une métaphore : le bœuf symboliserait les païens (reconnaissant le Christ), et l’âne, les Juifs. Il s’agit là d’une lecture allégorique, pas historique.

  • Source : Isaïe 1:3 ; Sermons de Saint Augustin (IVe siècle).

Ce qu’il symbolise vraiment :

  • Force et stabilité : Dans le bouddhisme zen, les (IXe siècle) décrivent le chemin vers l’éveil — le bœuf y est la nature de Bouddha en nous, à « dompter » par la méditation.
  • Union des contraires : Dans la crèche, il complète l’âne, montrant que le message du Christ s’adresse à tous, au-delà des divisions.
  • Travail et persévérance : En Inde, le taureau (monture de Shiva) incarne la dévotion et la force spirituelle.

Pourquoi ça nous touche ? Le bœuf, c’est cette force intérieure qui persévère, sans éclat mais sans faillir — comme notre propre capacité à avancer, même quand le chemin est long.


3. L’agneau : l’innocence qui sauve

D’où vient-il ? L’agneau n’apparaît pas dans les récits de la Nativité. Pourtant, il est central dans la symbolique christologique :

  • Jean-Baptiste désigne Jésus comme « l’ qui enlève le péché du monde » (Jean 1:29).
  • Dans l’islam, il est sacrifié lors de l’, en mémoire d’Ibrahim et d’Ismaël (Coran, Sourate 37).
  • Source : Jean 1:29 ; Coran, Sourate 37 (As-Saffat).

Ce qu’il symbolise vraiment :

  • Innocence et sacrifice : L’agneau incarne la pureté et le sacrifice rédempteur — dans le judaïsme (Pâque), le christianisme (Christ), et l’islam (Aïd).
  • Espérance : Il représente la renaissance (printemps, Pâques) et la confiance en la Providence.
  • Vulnérabilité : Sa fragilité rappelle que la force peut naître de la douceur.

Pourquoi ça nous touche ? L’agneau, c’est cette part de nous qui ose la vulnérabilité et la confiance — comme un rappel que le sacré naît souvent de ce que nous abandonnons.


4. Une triade équilibrée : humilité, force et innocence

Ces trois animaux forment un :
  • L’âne : l’humilité qui voit l’essentiel.
  • Le bœuf : la force qui persévère.
  • L’agneau : l’innocence qui sauve.

Symboliquement , leur réunion dans la crèche n’est pas un hasard. Elle nous parle de l’équilibre intérieur :

  • Accepter nos limites (l’âne),
  • Cultiver notre force (le bœuf),
  • Oser la vulnérabilité (l’agneau).

5. Et si nous faisions ces ?

Cette année, pour ceux qui font une crèche, en plaçant ces figurines, pour ceux qui les croisent dans les marché de Noël ou dans les magasins, Vous pouvez vous demander;

Pourquoi un âne, un bœuf et un agneau dans la crèche ? Une plongée dans les symboles que nous répétons sans toujours en saisir le sens

Chaque année, en installant la crèche, nous plaçons ces trois figurines : l’âne, le bœuf et l’agneau. Mais pourquoi ces animaux-là ? Pourquoi ce trio, transmis de génération en génération, comme une évidence ? Derrière cette scène en apparence simple se cachent des couches de sens historiques, théologiques et symboliques, où les faits avérés dialoguent avec des métaphores profondes. Voici ce que ces animaux représentent, et pourquoi leur réunion continue de nous parler, bien au-delà du simple décor de Noël.


Pour aller plus loin :

  • Les Dix Images du Bœuf (bouddhisme zen) pour explorer le chemin vers l’éveil.
  • Le sacrifice de l’agneau dans le judaïsme, le christianisme et l’islam.
  • L’ (sarcophages, mosaïques) pour voir comment ces symboles ont évolué.

Et vous, quel animal de cette triade vous parle le plus ? (Un texte à partager ou à garder pour réfléchir.)

 
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LE BON, LA BRUTE ET LE TRUAND – Enjeu du tribunal moral

LE BON, LA BRUTE OU LE TRUAND

LE BIEN, LE FORT ET LE MAL

Nos interactions forment l’enjeu du tribunal moral

 
Le discours sur les intentions engendre un pataquès inextricable, où le fait d’imputer directement à nous même ou à nos proches ce qui nous fait mal revient à augmenter la souffrance.
Cette contradiction aggrave hyperboliquement la souffrance, puisqu’elle implique que nous ne pouvons pas en même temps être liés par des liens d’affections (amis, amants, parents, frères, sœurs, etc) alors qu’entre nous, il se passe « ça, l’anomalie, l’accident dont la conscience ne peut pas plus douter que de sa propre souffrance » (le grain de sable qui désorganise le système, la goutte d’eau qui fait déborder le vase, l’opinion différente etc).
 
Par exemple :
Dire à une personne qu’elle se trompe sur ce qu’elle est, sur ce qu’elle sent, sur ce qu’elle veut, c’est la destituer de son statut de première personne, ce qui reviens ni plus ni moins à dire JE à sa place. Cette substitution à la conscience de soi rend littéralement fous les humains; elle revient à leur révéler qu’ils n’ont aucun contrôle sur leur identité. Il y a là une telle violence que ceux qui la commettent, c’est à dire presque tout le monde, devraient être condamnés à des pénalités de silence.
 
Mais condamnés par qui ?
Par ceux d’en face, qui font la même chose ?
 
Pour résoudre cette contradiction entre son objet d’amour et sa souffrance, surtout lorsque cette contradiction est très frontale, très simplifiée, la conscience individuelle incline tout naturellement à s’attaquer à l’image de l’autre: voilà pourquoi elle parle à sa place et lui explique ses intentions à lui (l’autre), du point de vue de sa souffrance à elle (conscience).
Tel est l’enjeu du tribunal moral, où il nous arrive d’adopter l’attitude de juges les uns envers les autres. Avant d’aborder les notions de non jugement, il est indispensable d’avoir admis ceci, qui me semble être l’un des piliers d’une éthique des interactions:
 
La souffrance Précède l’évaluation.
 
En d’autres termes, les humains ne se posent pas la questions « du bien et du mal ». Le problème qu’ils rencontrent régulièrement est plutôt :
 
Pourquoi ai-je mal ?
Où est le mal ?
 
Il semble donc essentiel de ne pas préjuger de l’intention de l’autre, mais de regarder la brèche ou est venue s’engouffrer notre souffrance.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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L’ENFER

L’ENFER

L’enfer, c’est toujours de faire les choses en s’en foutant
C’est de vivre en pensant à autre chose
L’enfer c’est de ne jamais être là, mais toujours un peu en avant ou après
L’enfer c’est de regretter quelque chose et d’en attendre une autre
C’est de ne pas écouter l’autre quand on vous parle, parce qu’on s’emmerde partout et qu’on n’a pas de raison que ça s’arrête
L’enfer, c’est la vie gâchée à attendre la vie
L’enfer c’est la pensée gâchée à penser à autre chose. C’est là ou l’on voit les choses interminables. On l’on voit le temps passer.
Le temps passe toujours trop lentement, ou les journée sont interminables comme des siècles.

Dès que l’on ne voit plus le temps passer, c’est qu’on est passé à l’intérieur.
Là, tout s’allume, tout s’illumine

Le royaume, c’est un état que l’on atteint quand on ne voit pas le temps passer
C’est comme la fête ou l’amour mais transférer à tous les moments de la vie.

 

 

 

 

 

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L’EGO DANS NOS RELATIONS

L’EGO N’EST QUE PETIT MOT DE TROIS LETTRES QUI PEUT DETRUIRE UN GRAND MOT DE HUIT LETTRES APPELÉ RELATION

 

D’une façon ou d’une autre, chaque relation que fait l’égo est fondée sur l’idée qu’en se sacrifiant lui-même, il devient plus gros. Le sacrifice qu’il considère comme une purification, est en fait la racine de son amer ressentiment. Car il préfèrerait attaquer directement, et éviter de retarder ce qu’il veut réellement. Or l’égo reconnait la « réalité » telle qu’il la voit, et il admet que personne ne pourrait interpréter une attaque directe comme de l’amour. Or rendre coupable, c’est une attaque directe, même si cela n’en a pas l’air. Car les coupables s’attendent à l’attaque, et l’ayant cherchée, c’est ce qui les attire.

Dans les relations dysfonctionnelles, l’attraction de ce que tu ne veux pas Continuer la lecture

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QUE NOUS APPREND LA FÊTE DE PÂQUES?

Quand j’étais petite, j’ai vu un film qui m’a profondément touchée, La tunique, c’était la vie de Jésus jusqu’à sa résurrection. Je me souviens d’avoir été traumatisée au point de ne pas pouvoir dormir. Toute la nuit nous avons jouer avec mes sœurs aux cartes pour ne pas nous laisser envahir par la tristesse, tant nous avions trouvé horrible d’avoir assister a la mort d’un homme aussi bon et rempli d’un pouvoir puissant d’amour et de guérison et ne comprenant pas pourquoi il ne se défendait pas. Pourquoi il a laissé faire et a enduré toutes ses souffrances.

Affiche du film la Tunique

Depuis, même si trop souvent je me suis réfugier dans les forces de l’égo, si j’ai rejeté la religion en jetant le bébé avec l’eau du bain par ignorance, un appel puissant a fait de moi un vif point d’interrogation;  Qu’est ce que tout cela cherche à nous dire, nous apprendre? Quelle sagesse, force se cache dans les enseignements spirituels, les messages mystiques qui nous sont révélés?

Aussi je voudrais vous partager le Texte de Marianne Williamson qui nous parle de;

La lumière de Jésus

La vie de Jésus est un fait aussi historique que mystique. Jésus est un vecteur intemporel de force spirituelle, il ne s’agit pas uniquement d’un homme qui à vécu il y a deux mille ans, mais également d’une réalité psychique dont nous faisons tous à chaque instant l’expérience. Sa naissance représente notre propre renaissance, son ministère notre propre cheminement et sa mort et sa résurrection symbolisent Continuer la lecture

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CONNEXION ET SPIRITUALITÉ

La spiritualité est la vie, la base de notre conscience? Pensées tournée vers le miracle avec le filtre de l’amour plutôt que le filtre du mental de la peur.

LE PARADIS EST UNE CONSCIENCE DE NOTRE UNITÉ

Ce qui est difficile, c’est d »apprendre la pensée juste. L’amour est une onde de cette pensée juste.

Quand quelque chose arrive avec raison, cela ne veut pas dire que c’est une bonne raison et qu’il ne faut pas s’en occuper.

Lorsque nous observons, nous comprenons que chaque situation est relation.

  1. Action associée à réaction donnent KARMA. Qu’est-ce que le karma, c’est la possibilité de l’expiation; On regarde toutes nos erreurs pour les admettre, on regarde nos propres souffrances, nos imperfections liées au passé pour les transcender une fois la prose de conscience de l’impact sur nos relations.

La vie est toujours prête à tout recommencer.

On ne peut pas aller vers Dieu, l’essence cosmique la force supérieure, quelque soit le nom qu’on lui donne puisqu’il n’est pas mesurable, si d’autres personnes ne sont pas impliquées.

La clé et la personne en face de soi. On y rentre à deux

JUGE = SÉPARATION = EGO (L’EGO est la croyance en la séparation)

Chaque personne que nous rencontrons, est une chance donnée par une loi divine. Chaque rencontre représente deux âmes réunies et une opportunité de croissance maximale.

Plusieurs types de rencontres:

  1. RENCONTRE FORTUITE : A chaque fois que l’on rencontre quelqu’un on rencontre notre représentant.
  2. RENCONTRE PLUS LONGUE : Le succès d’une relation n’est pas déterminée par la proximité. Nous portons toutes nos relations en nous. Le fardeau est dans l’esprit. Le jugement sur soi ou sur les autres.

L’EGO EST UN GLOUTON, IL VEUT JUSTE OBTENIR

LE POUVOIR C’EST DE DONNER

L’INTENTION C’EST DE LA MANIPULATION, SANS INTENTION C’EST LE POUVOIR DE L’AMOUR

TOUS CEUX QUE NOUS RENCONTRONS SONT SOIT NOTRE SOUFFRANCE, SOIT NOTRE SALUT.  L’IMPORTANT EST DE NOUS RAPPELER DE QUI NOUS SOMMES ET QUAND NOUS NOUS RAPPELONS, NOUS NOUS SOUVENONS DE QUI EST L’AUTRE. LA EST NOTRE SALUT, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FILLES ET FILS DE L’UNIVERS, L4ESPRIT SAIN EST NOTRE MÉDIATEUR.

LA SEULE CHOSE FONT ON PEUT ÊTRE SAUVÉ, C’EST DE NOTRE PROPRE FOLIE !

LA VRAIE QUESTION A SE POSER EST :

Est-ce que vous donnez tout ce que vous avez dans cette relation?
Le problème n’est pas la situation, mais qui je suis dans cette situation. Nous devons aller vers le fonctionnement sain, comme la vie nous le montre constamment tout collabore. La terre n’est pas séparée du ciel tout comme le cœur n’est pas séparé du cerveau.

Le cancer est le fonctionnement d’une cellule qui ne veut pas collaborer, coopérer avec les autres cellules. C’est la maladie de notre planète.
Nos cellules savent exactement quoi faire. Il est surprenant dans notre société que de plus en plus de personnes s’inquiètent de ce qu’il mettent dans leurs intestins, et selon moi cette inquiètude provient de l’amour de la vie juste, mais qu’ils ne s’inquiètent pas de l’ alchimie médicamenteuse.

Depuis plusieurs années, je constate que le complexe médical et pharmacologique à médicalisé le désespoir humain normal. Perdre quelqu’un est douloureux mais ce n’est pas une maladie mentale.

Les pilules vous signifiant un apaisement sont une terrible escroquerie. Être exilé du jardin d’Eden, c’est cela qui fait la souffrance. La douleur psychique est là pour une raison.

LE VRAI PROBLÈME EST QUAND ON SE DÉSENSIBILISE A LA DOULEUR DES AUTRES.

Ce n’est pas que l’amour n’est pas là, c’est simplement qu’on le garde à distance.

Quand on se transforme spirituellement, ce qui existait, n’existe plus.

L’EGO dit : « Je veux quelque chose d’autre »

L’ESPRIT dit : « Je vais transformer ce que tu as déjà

Dans notre soci2té, être triste est mal perçu, Nous avons plus de foi dans les produits chimiques que dans notre potentialité divine. La science est brillante à bien des égards, cela ne signifie pas qu’elle est la réponse ultime ! C’est important de ne pas se prendre au sérieux car la vie est sérieuse.

LE BUT EST DE TROUVER LA PAIX INTÉRIEURE.

LISEZ LE JOURNAL ET PRIEZ? AGISSEZ POUR QUE LE MONDE AILLE MIEUX§

TOUT CE QUE NOUS DONNONS NE PEUT PAS NOUS MANQUER

MÉDITATION

Dans n’importe qu’elle situation, donnez moi la conscience pour comprendre ce qu’il m’arrive; La source est en soi et je sais que ce qui bloque ma manifestation est en moi même

 

 

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QUE DISENT LES YEUX?

QUAND LA LUMIÈRE S’ÉTEINT

Avec le port du masque obligatoire, il nous reste à voir qu’une partie du visage ;
Et que voyons-nous ?


Dans une grande partie de ces yeux, la lumière est éteinte. La peur et l’obéissance ont remplacé l’intensité de notre flamme intérieure.
Ce qui nous amène à fonctionner de façon robotique.
Dans ses yeux-là, l’absence à soi-même est évidente. Comme s’ils avaient renoncé à toute verticalité, voir parfois à toutes pensées ou la conscience s’anéantit dans une matérialisation de plus en plus dense. Ce qui parfois donne le sentiment d’avoir à faire à des morts-vivants.
Dans d’autres yeux, nous lisons un intense désespoir et ceci quelles que soient les paroles qui s’échappent d’une bouche masquée et rendue absolument inaudible.
Il y a dans ces yeux, l’expression ‘une souffrance, celle d’une brisure profonde. La présence ne veut pas encore disparaître. Cette présence cherche par tous les moyens à éclairer la conscience.
Une lutte pour manifester sa présence dans le courant alternatif. Et cela donne le sentiment collectif, d’être à nouveau tombé dans un piège.
Cela pousse à observer ce paradoxe entre ce qu’on nous raconte et l’état même du RÉEL, et diffuse dans les consciences psychiques que quelque chose ne va pas, qu’il y a un manque de cohérence.

Est-ce que la nature de l’enjeu, n’est pas que sanitaire, mais bel et bien spirituelle ?

Nous voyons aussi dans ces yeux-là, des éclats intermittents de lumière d’affirmation de la présence.
Dans d’autres yeux, plus rares, la lumière de la présence est pleine et entière, la présence apparaît comme infiniment vivante, vibrante. Elle ne se laisse plus bernée par les ruses, elle a atteint une capacité de discernement, cela s’appelle simplement le bon sens, la capacité de voir l’évidence, et l’absence de peur projetée avec la clarté de conscience sur les enjeux actuels.
Lorsque nous voyons ces yeux, nous sentons qu’ils pétillent d’amour et de compassion pour l’humanité. Ces Êtres parlent à partir d’un lieu de paix et leurs simples champs de présences contribuent à éveiller ceux qui sont autour d’eux.
Dans ces yeux, l’Être rayonne.
Il n’y a ni colère, ni révolte, ni résistance.

Ces yeux qui sont de plus en plus nombreux, marquent l’échec du processus de contrôle collectif.

Ces yeux, chacun a leur manière sont les relais de la puissance collective dans notre incarnation. Il est évident pour eux que la seule chose à faire dans leur ligne de vie est de respecter leur intégrité, leur vérité intérieure, basée sur le réel et de l’annoncer aux autres.

Ces yeux sont ceux dont la parole est libre, n’ayant pas d’autres intérêts que celui de servir l’esprit.

Nous pouvons donc observer dans notre entourage entre la plus grande absence et la plus grande présence.

Il est important de reconnaître nos émotions, car chaque émotion est associée à une sensation au niveau du corps physique. Quand nous sommes heureux, nous ressentons une expansion qui apporte la joie et quand nous sommes en colère ou triste une contraction, c’est la CONSCIENCE

L’esprit se contracte et donne une fatigue née de la résistance au réel, aux choses et a cela s’ajoute une fatigue née de la résistance à soi.

LE SECRET de la présence, c’est l’acceptation de ce qui est sans s’identifier à l’émotion. Puis trois choix possibles, se retirer de la situation, changer ce que l’on peut changer ou accepter et assumer les conséquences de cette acceptation.

Plus vous êtes en contact avec le témoin ou l’observateur en vous, plus la présence se manifeste.


Simplement la nature du Réel, que sont l’amour et l’empathie qui s’expriment.
De tous mes vœux, j’aspire à ce que cette belle présence, la paix intérieure qui mène à la joie du cœur se réalise auprès d’un plus grand nombre d’individus, pour faire évoluer la conscience collective.
LBH

 

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Une relation ne se réfléchit pas, elle se vit

La connaissance de soi

« La connaissance de soi ne s’acquiert pas dans les livres et ne résulte pas d’une pratique et d’une discipline longues et pénibles. Elle est la conscience de toutes pensées et de tous les sentiments de toutes les sensations, au moment ou ils se manifestent dans la relation« 

Pourquoi se connaitre soi même ?

Observer notre propre processus psychologique ne peut se faire que dans la relation, c’est là que tout ce joue. Dans les rencontres de dialogue visant la connaissance de soi, la proposition est d’être ensemble en état d’observation, sans justification, ni condamnation, de ses pensées; simplement conscient de ses croyances, ses idéaux, ses expériences, ses désirs, ses peurs, ses réactions… c’est dans cet espace temps, qu’il est proposé de partager ensemble cet état d’esprit tout au long de la rencontre, tant dans les moments de dialogues organisés, qu’à d’autres moments (balades, sophrologie, yoga, film…)

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UNE FAMILLE SAINE, UN ART DE VIVRE

La famille saine , un art de vivre !

C’est celle qui peut répondre à la double nécessité de donner un sentiment d’appartenance et en même temps de favoriser l’autonomie de ses membres.  Elle sait se préparer à n’importe quel défi. Elle s’enrichit des apports positifs de Continuer la lecture

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CERVEAU, CONSCIENCE ,INCONSCIENT

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Conférence de M. Bernard-Michel BOISSIER

Bernard-Michel Boissier est chercheur indépendant en neuroscience. Il est l’inventeur de la DMCI Méthode BMB© et du test de personnalité mypandoratest®. Il a travaillé au cours de sa carrière auprès de grands noms de la neuroscience et de la psychologie dont Napoleon Hill, Raymond Abrezol, Roger Sperry et Francisco Javier Varela.

sa rencontre avec Carle-Gustave Jung

Merci à Nathalie qui m’a fait Connaitre M Bernard-Michel BOISSIER

 

 

 

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