Psychologie Sophrologie Hypnose et Coaching – Méditations guidées

LYDIA BOUSQUET Psychothérapeute SAINT ALBAN-LEYSSE 73230 vous accompagne dans vos difficultés liées aux relations amoureuses, à la souffrance au travail, au stress, à la confiance en soi, à l'hypersensibilité, à l'hyperémotivité, à l'angoisse , à l'anxiété, aux phobies et aux addictions. CONTACT : 06 08 57 02 50

 Psychologie Sophrologie Hypnose et Coaching – Méditations guidées

LE CADEAU

PRENDRE CONSCIENCE DE SON HYPERSENSIBILITÉ EST UN CADEAU

Beaucoup d’entre nous ignorent ou nient leur hypersensibilité. Certains vont jusqu’à refouler derrière une froideur, une distanciation glaçante. Ils ne sont pas en paix avec eux-mêmes. Ils trichent et finissent, tôt ou tard par s’effondrer.

Chaque individu est singulier, nos filtres cérébraux n’ont pas la même puissance. Chez certains, le maillage est très fin, les filtres sont très performants, parfois trop. Et beaucoup d’éléments, d’informations leurs restent imperceptibles. Certes ils ne sont pas parasités par ces éléments qui détournent de la tâche effectuée, ils sont capables d’une concentration exceptionnelle. Mais d’une certaine manière, ils sont sous-informés. Leur vie risque d’être monotone.

Chez d’autres, appelés hypersensibles, le maillage est plus souple et le tri moins rigoureux. De ce fait, ils reçoivent une quantité d’informations provenant de différentes sources, que la majorité ne perçoit pas, mais auxquelles ils réagissent. On dira à tort qu’ils surréagissent.

  • Ils ressentent plus fort les bruits, les odeurs, le froid, la chaleur et jusqu’aux moindre dysfonctionnement de leur organisme. Ils perçoivent toutes sortes de signaux d’ordre de l’émotionnel et leur répondent avec une certaine intensité. Ils ont les larmes aux yeux ou se mettent en colère, ou encore explose de joie sans que leur vis à vis, qui n’a rien perçu d’extraordinaire, comprenne cette réaction. Ce flux important à également un impact au niveau cognitif. Suralimentée en informations, en données, leur intelligence est singulière, plus intuitive.

  • Ils « captent » une situation, une solution, sans toujours savoir comment ils l’ont perçue et comprise, et sans jamais passer par les chemins de la logique conventionnelle

COMMENT FAIRE POUR TROUVER UN NOUVEAU GPS ADAPTÉ POUR S’ORIENTER DANS LA VIE ?

Cela demande une certaine discipline:
Apprendre à établir la distinction entre ce que l’on ressens et la manière dont il convient d’agir à partir de la chance de ressentir. Rétablir l’équilibre entre les antennes surdéveloppées et les filtres atrophiés, en conservant une belle sensibilité qui donne un caractère enrichissant. Cela fait, on réussit à faire la paix avec soi et on se fiche la paix.

VOICI UN EXERCICE POUR T’AIDER DANS CETTE APPROCHE:

Dresse la liste de ce qui est trop pour toi. Certaines sensations comme le bruit ou la lumière, des émotions qui te submergent, une empathie excessive ? Trop de distance, de froideur, trop d’amour…

Identifier tous les trop est un premier pas.

Une fois que tu as reconnu ces trop? tu peux commencer à faire la paix avec eux, ou du moins à t’adapter à eux.
Si les pulls en laine qui pique ou les cols de chemise sont un problème pour toi, note le et évite-les. C’est simple!

CE QU’IL FAUT RETENIR

  • Nombreux sont les hypersensibles, plus rares sont ceux qui se reconnaissent sous ce vocable chargé de préjugés, associé, à tort, à une forme de faiblesse, de fragilité.
  • Se reconnaître hypersensible est le fruit d’un travail. Son point de départ : établir le lien entre ces phénomènes divers, parfois étranges, parfois gênant et invalidants ou bien encore exaltants, qui tissent notre vie.
  • L’hypersensibilité est un phénomène complexe, subtil et déconcertant, qui prend différentes formes. Il y a sans doute autant de formes d’hypersensibilité que d’individus hypersensibles.

La reconnaissance de son hypersensibilité est un cadeau extraordinaire qui change la vie. Tout fait sens, tout deviens moins pénible, moins douloureux.

Parcours ta vie en toute objectivité avec le prisme de l’hypersensibilité.
Met-il en lumière certains phénomènes que tu avais du mal à comprendre et dont tu ne voyais pas le tronc commun ?
Ce simple passage en revue, comme un observateur extérieur, peut-être libérateur. Tu comprend qui tu es. pleinement entier

Tu vois que tu peux entamer le chemin, que tu n’es pas à part mais une part entière de l’univers. Un faisant parti du tout.

 

 

 

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L’ENFANT DE TROP!

BRUITS, ODEURS, ÉMOTIONS, EMPATHIE, PENSÉES… Mille et une façons d’être trop !

Pendant très longtemps, j’ai vécu dans une sorte de capharnaüm. Dans une bataille insensée avec moi-même et avec tout ce qui m’entourait. Ma vie était faite de pièces qui ne s’accordaient pas entre elles, sans rapport unes avec les autres. Le seul point commun, un bouillonnement intérieur.

Je rêvais d’être calme, posée, sereine, j’étais dans l’excès, l’hyper, dans le trop. Trop de sensations, trop d’émotions, trop d’idées qui fusaient sans aucun ordre particulier. Trop de pensées qui m’emmenaient Continuer la lecture

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L’HISTOIRE DE TA VIE EST IMPORTANTE

je devrais plutôt tenter de dire ce que les rencontres, les séparations, les découvertes, les éblouissements comme les désespérances m’ont appris dans le sens de me découvrir, de me construire, d’influencer le déroulement de mon existence.

J’ai ainsi appris que la vie n’est faite que de rencontres et de séparations et qu’il nous appartient de les vivre en acceptant de nous responsabiliser face à chacune.

 

J’ai appris encore qu’il y a toujours une part d’imprévisible dans le déroulement des jours et donc qu’il m’appartenait de savoir accueillir les cadeaux inouïs ou les blessures qui peuvent surgir dans l’immensité d’un jour.

J’ai appris bien sûr à vivre au présent, à entrer de plain-pied dans l’instant, à ne pas rester enfermé dans mon passé ou me laisser envahir par des projections sur un futur trop chimérique.

J’ai appris tardivement à remercier, chaque matin, la Vie d’être présente en moi et autour de moi, à l’honorer chaque fois que cela m’est possible, à la respecter en toute occasion, à la dynamiser avec mes ressources et mes limites.

J’ai appris difficilement à m’aimer, non d’un amour narcissique ou égocentrique (même si la tentation était grande) mais d’un amour de bienveillance, de respect et de tolérance.

J’ai appris avec beaucoup de tâtonnements à me respecter en osant dire non quand je suis confronté à des demandes qui ne correspondent pas à mes possibles ou à ma sensibilité.

J’ai appris avec enthousiasme que la beauté est partout, dans le vol d’un oiseau, comme dans le geste d’un enfant pour tenter de capter le vol d’un papillon ou encore dans le sourire d’un vieillard qui croise mon chemin.

J’ai appris patiemment que nul ne sait à l’avance la durée de vie d’un amour et que toute relation amoureuse est une relation à risques. Des risques que j’ai pris.

J’ai appris douloureusement que je n’avais pas assez pris de temps pour regarder mes enfants quand ils étaient enfants, que j’aurais dû savoir jouer et rire avec eux, plus souvent et surtout chaque fois qu’ ils me sollicitaient, que je n’avais pas su toujours les entendre et les accueillir dans leurs attentes profondes et surtout que j’avais trop souvent confondu mon amour pour eux avec quelques-unes de mes peurs tant je voulais le meilleur pour eux, tant je désirais les protéger des risques (que j’imaginais) de la vie.

J’ai appris avec beaucoup de surprise que le temps s’accélérait en vieillissant et qu’il était important non pas d’ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années.

J’ai appris malgré moi que je savais beaucoup de choses avec ma tête et peu de choses avec mon coeur.

J’ai appris que je pouvais oser demander si je prenais le risque de la réponse de l’autre aussi frustrante ou décevante qu’elle puisse être, que je pouvais recevoir sans me sentir obligé de rendre, que je pouvais donner sans envahir l’autre et refuser sans le blesser.

J’ai appris, sans même le vouloir, que j’avais des besoins et qu’il ne fallait pas les confondre avec des désirs.

J’ai appris avec soulagement que je pouvais désapprendre tout l’inutile dont je me suis encombré pendant des années.

J’ai appris joyeusement à planter des arbres, c’est le cadeau le plus vivant que je peux faire jusqu’à ma mort à cette planète merveilleuse qui a accueilli mes ancêtres et surtout mes géniteurs.

J’ai appris doucement à recevoir le silence et à méditer quelques minutes chaque jour pour laisser aux vibrations de l’univers la possibilité de me rejoindre et de m’apprivoiser encore un peu.

Oui, j’ai appris beaucoup dans ma vie et pourtant je cherche encore l’essentiel.

Jacques Salomé est l’auteur de: À qui ferais-je de la peine si j’étais moi-même? aux Éditions de l’Homme

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L’EGO DANS NOS RELATIONS

L’EGO N’EST QUE PETIT MOT DE TROIS LETTRES QUI PEUT DETRUIRE UN GRAND MOT DE HUIT LETTRES APPELÉ RELATION

 

D’une façon ou d’une autre, chaque relation que fait l’égo est fondée sur l’idée qu’en se sacrifiant lui-même, il devient plus gros. Le sacrifice qu’il considère comme une purification, est en fait la racine de son amer ressentiment. Car il préfèrerait attaquer directement, et éviter de retarder ce qu’il veut réellement. Or l’égo reconnait la « réalité » telle qu’il la voit, et il admet que personne ne pourrait interpréter une attaque directe comme de l’amour. Or rendre coupable, c’est une attaque directe, même si cela n’en a pas l’air. Car les coupables s’attendent à l’attaque, et l’ayant cherchée, c’est ce qui les attire.

Dans les relations dysfonctionnelles, l’attraction de ce que tu ne veux pas Continuer la lecture

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LE SILENCE DANS LE COUPLE

Le silence d’un couple qui partage un banc, qui dîne en tête à tête peut exprimer la profondeur d’une communion qui n’a plus besoin de paroles.

A l’inverse, ils peuvent ne plus être capable de parler.

LE PREMIER SILENCE EST UN SILENCE DE COMMUNION ET LE DEUXIÈME EST SILENCE DE RUPTURE.

Ces deux formes opposées portent chacune un message très fort.

Le premier dit : JE T’AIME
le deuxième dit : C’EST FINI DE NOTRE AMOUR

Communion et contemplation ne peuvent pas être séparés, elles vont de pair.
Pour communier vraiment avec une autre personne, on doit la connaître et rester auprès d’elle en silence, l’écouter, la regarder avec amour.

Le véritable amour et la véritable amitié vivent toujours dans cette réciprocité, cette coopération de regards, silences intenses, éloquents, remplis de respect et de vénération, afin que la rencontre soit vécue en profondeur de façon personnelle et non pas superficielle.

Voilà la véritable anticipation du silence divin que nous sommes tous appelés à connaître.

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QUE NOUS APPREND LA FÊTE DE PÂQUES?

Quand j’étais petite, j’ai vu un film qui m’a profondément touchée, La tunique, c’était la vie de Jésus jusqu’à sa résurrection. Je me souviens d’avoir été traumatisée au point de ne pas pouvoir dormir. Toute la nuit nous avons jouer avec mes sœurs aux cartes pour ne pas nous laisser envahir par la tristesse, tant nous avions trouvé horrible d’avoir assister a la mort d’un homme aussi bon et rempli d’un pouvoir puissant d’amour et de guérison et ne comprenant pas pourquoi il ne se défendait pas. Pourquoi il a laissé faire et a enduré toutes ses souffrances.

Affiche du film la Tunique

Depuis, même si trop souvent je me suis réfugier dans les forces de l’égo, si j’ai rejeté la religion en jetant le bébé avec l’eau du bain par ignorance, un appel puissant a fait de moi un vif point d’interrogation;  Qu’est ce que tout cela cherche à nous dire, nous apprendre? Quelle sagesse, force se cache dans les enseignements spirituels, les messages mystiques qui nous sont révélés?

Aussi je voudrais vous partager le Texte de Marianne Williamson qui nous parle de;

La lumière de Jésus

La vie de Jésus est un fait aussi historique que mystique. Jésus est un vecteur intemporel de force spirituelle, il ne s’agit pas uniquement d’un homme qui à vécu il y a deux mille ans, mais également d’une réalité psychique dont nous faisons tous à chaque instant l’expérience. Sa naissance représente notre propre renaissance, son ministère notre propre cheminement et sa mort et sa résurrection symbolisent Continuer la lecture

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POURQUOI TANT DE DÉPRESSION ?

Au cœur de notre société existe un aspirateur spirituel responsable d’une tristesse diffuse. Notre civilisation est imprégnée d’une vision du monde déprimante. Une interprétation mécanique, matérialiste, qui nous apprend à considérer les gens comme des machines de guerre et non comme des êtres multidimensionnels. Comme des corps, et non comme des esprits. Cet état d’esprit qui se répand de plus en plus dans le monde, cette  pensée dualiste, séparatiste, déprécie ce que nous sommes réellement. Chaque jour, tout au long de notre vie, nous nous éloignons de notre véritable nature.

Vivre dans ce monde est en soi un traumatisme émotionnel. Mais cette déconnexion des autres, de soi-même, de la nature et des forces cosmiques universelles, au sens de toute réalité transcendante, n’est pas due à un évènement spécifique brutal.

C’est au contraire le traumatisme continuel d’une vie à ce point déconnectée de l’amour. Nous ne sommes donc pas seulement déprimés à cause d’une difficulté spécifique, nous ne sommes pas seulement déprimés en tant qu’individus, notre dépression est d’ordre collectif! et le collectif à le pouvoir de re naitre de cette aliénation. Continuer la lecture

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CONNEXION ET SPIRITUALITÉ

La spiritualité est la vie, la base de notre conscience? Pensées tournée vers le miracle avec le filtre de l’amour plutôt que le filtre du mental de la peur.

LE PARADIS EST UNE CONSCIENCE DE NOTRE UNITÉ

Ce qui est difficile, c’est d »apprendre la pensée juste. L’amour est une onde de cette pensée juste.

Quand quelque chose arrive avec raison, cela ne veut pas dire que c’est une bonne raison et qu’il ne faut pas s’en occuper.

Lorsque nous observons, nous comprenons que chaque situation est relation.

  1. Action associée à réaction donnent KARMA. Qu’est-ce que le karma, c’est la possibilité de l’expiation; On regarde toutes nos erreurs pour les admettre, on regarde nos propres souffrances, nos imperfections liées au passé pour les transcender une fois la prose de conscience de l’impact sur nos relations.

La vie est toujours prête à tout recommencer.

On ne peut pas aller vers Dieu, l’essence cosmique la force supérieure, quelque soit le nom qu’on lui donne puisqu’il n’est pas mesurable, si d’autres personnes ne sont pas impliquées.

La clé et la personne en face de soi. On y rentre à deux

JUGE = SÉPARATION = EGO (L’EGO est la croyance en la séparation)

Chaque personne que nous rencontrons, est une chance donnée par une loi divine. Chaque rencontre représente deux âmes réunies et une opportunité de croissance maximale.

Plusieurs types de rencontres:

  1. RENCONTRE FORTUITE : A chaque fois que l’on rencontre quelqu’un on rencontre notre représentant.
  2. RENCONTRE PLUS LONGUE : Le succès d’une relation n’est pas déterminée par la proximité. Nous portons toutes nos relations en nous. Le fardeau est dans l’esprit. Le jugement sur soi ou sur les autres.

L’EGO EST UN GLOUTON, IL VEUT JUSTE OBTENIR

LE POUVOIR C’EST DE DONNER

L’INTENTION C’EST DE LA MANIPULATION, SANS INTENTION C’EST LE POUVOIR DE L’AMOUR

TOUS CEUX QUE NOUS RENCONTRONS SONT SOIT NOTRE SOUFFRANCE, SOIT NOTRE SALUT.  L’IMPORTANT EST DE NOUS RAPPELER DE QUI NOUS SOMMES ET QUAND NOUS NOUS RAPPELONS, NOUS NOUS SOUVENONS DE QUI EST L’AUTRE. LA EST NOTRE SALUT, NOUS SOMMES TOUTES ET TOUS FILLES ET FILS DE L’UNIVERS, L4ESPRIT SAIN EST NOTRE MÉDIATEUR.

LA SEULE CHOSE FONT ON PEUT ÊTRE SAUVÉ, C’EST DE NOTRE PROPRE FOLIE !

LA VRAIE QUESTION A SE POSER EST :

Est-ce que vous donnez tout ce que vous avez dans cette relation?
Le problème n’est pas la situation, mais qui je suis dans cette situation. Nous devons aller vers le fonctionnement sain, comme la vie nous le montre constamment tout collabore. La terre n’est pas séparée du ciel tout comme le cœur n’est pas séparé du cerveau.

Le cancer est le fonctionnement d’une cellule qui ne veut pas collaborer, coopérer avec les autres cellules. C’est la maladie de notre planète.
Nos cellules savent exactement quoi faire. Il est surprenant dans notre société que de plus en plus de personnes s’inquiètent de ce qu’il mettent dans leurs intestins, et selon moi cette inquiètude provient de l’amour de la vie juste, mais qu’ils ne s’inquiètent pas de l’ alchimie médicamenteuse.

Depuis plusieurs années, je constate que le complexe médical et pharmacologique à médicalisé le désespoir humain normal. Perdre quelqu’un est douloureux mais ce n’est pas une maladie mentale.

Les pilules vous signifiant un apaisement sont une terrible escroquerie. Être exilé du jardin d’Eden, c’est cela qui fait la souffrance. La douleur psychique est là pour une raison.

LE VRAI PROBLÈME EST QUAND ON SE DÉSENSIBILISE A LA DOULEUR DES AUTRES.

Ce n’est pas que l’amour n’est pas là, c’est simplement qu’on le garde à distance.

Quand on se transforme spirituellement, ce qui existait, n’existe plus.

L’EGO dit : « Je veux quelque chose d’autre »

L’ESPRIT dit : « Je vais transformer ce que tu as déjà

Dans notre soci2té, être triste est mal perçu, Nous avons plus de foi dans les produits chimiques que dans notre potentialité divine. La science est brillante à bien des égards, cela ne signifie pas qu’elle est la réponse ultime ! C’est important de ne pas se prendre au sérieux car la vie est sérieuse.

LE BUT EST DE TROUVER LA PAIX INTÉRIEURE.

LISEZ LE JOURNAL ET PRIEZ? AGISSEZ POUR QUE LE MONDE AILLE MIEUX§

TOUT CE QUE NOUS DONNONS NE PEUT PAS NOUS MANQUER

MÉDITATION

Dans n’importe qu’elle situation, donnez moi la conscience pour comprendre ce qu’il m’arrive; La source est en soi et je sais que ce qui bloque ma manifestation est en moi même

 

 

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LAISSER ENTRER LA TRISTESSE

voyage spirituel

La douleur émotionnelle n’est pas seulement un problème d’ordre psychologique. C’est un problème spirituel. La dépression est peut-être, ou pas un trouble cérébral, mais elle est certainement une affection de l’âme. Il est impossible de s’en débarrasser en s’en remettant simplement à la médecine ou à la psychothérapie traditionnelle. Comment une méthode qui ne reconnait pas l’existence de l’âme pourrait-elle la guérir?

Au cours de ces dernières décennies, le corps médical s’est approprié la question de la dépression en dissociant artificiellement les termes « tristesse » et « dépression », ce qui est d’aucune utilité, sauf pour l’industrie pharmaceutique. Cette dissociation est une construction manipulatrice, qui sert la vente des traitements médicaux, mais n’apporte tien au traitement du problème. Les gens parlent à présent de « dépression clinique » comme si cette maladie était détectable à l’aide d’une prise de sang. On pourrait donc dépister la dépression en cochant les cases d’un questionnaire.

Évidemment les gens ont besoins parfois de toute l’aide possible, médicamenteuse ou autre, et le traitement médicalisé de certains troubles mentaux tel que le désordre bipolaire ou la schizophrénie, peut sauver des vies. Mais bien que dans certains cas l’utilisation de médicaments puisse être efficace, voire vitale, cette consommation irréfléchie d’antidépresseur en constante augmentation n’est certainement ni efficace ni vitale.

Aujourd’hui, des centaines de milliers personnes, après avoir simplement mentionné à une ou deux reprises qu’elles traversaient une période difficile, sortent de chez le médecin avec une ordonnance entre les mains. Nous sommes bombardés de tous les cotés par l’illusion d’une vie plus heureuse grâce à la chimie.

Tous ceux qui traversent une période difficile, voire très difficile, ne sont pas atteints de maladie mentale. Il est important de ne pas minimiser les questions de santé mentale, mais il est tout aussi essentiel de ne pas pathologiser ) outrance la souffrance humaine. La vie peut être douloureuse. Le passage à l’âge adulte est difficile, mais ce n’est pas une pathologie mentale. Un divorce est difficile mais ce n’est pas une défaillance mentale. Le deuil d’un proche est douloureux, mais ce n’est pas un trouble mental. S’il en est une, la seule pathologie mentale est cette idée pernicieuse que la profonde souffrance en est une.

Une vision du monde trop tournée vers l’extérieur nous éloigne de notre âme, notre essence et engendre de la souffrance. Ce n’est qu’en nous connectant à notre âme par la voie du cœur associé à notre cerveau que nous pourrons nous libérer de la douleur. Récupérer notre âme ne se fait pas en versant de la lumière sur notre obscurité, mais en exposant progressivement notre obscurité à la lumière. Nous devons exhumer nos zone d’ombre, notre résistance à l’amour, pour les libérer. Et ce processus ne nous rend pas forcement heureux. Mais en évitant la tristesse, nous évitons notre vie.

Éviter la tristesse amoindrit notre capacité d’apprendre d’elle. Comment comprendre profondément ce que nous n’avons pas réussi à voir ?

Tout comme les bébés développent les anticorps dont ils ont besoin qu’en étant exposés aux bactéries, les gens qui évitent à tout prix de souffrir ne développent pas les compétences émotionnelles nécessaires pour y faire face.

En reconnaissant la signification spirituelle de notre tristesse, nous trouvons sa place dans notre psyché et comme dans notre vie. Nous prenons conscience de ce qui nous à éloignés de l’amour, des autres, et donc des forces supérieures. Ainsi en reconnaissant la véritable racine de notre souffrance, nous retrouvons notre puissance et agissons sur le problème à l’endroit même ou il se trouve.

Cette proportion au « moi d’abord » est la cause de notre épidémie de malheur; En changeant notre attitude de façon collective, nous guérissons. Une société dont les systèmes sociaux et économiques nous incitent à vivre séparés d’avec soi même, es autres et de la terre sur laquelle nous vivons est une société qui n’apporte que de la souffrance.  C’est un monde malade, qui traite de fous ceux qui n’y trouve pas leur place. Essayer de s’adapter à une société dysfonctionnelle ne nous guérit pas de notre souffrance, c’est une façon pernicieuse d’aggraver notre désespoir.

D’un point de vue spirituel, l’humanité est atteinte de déficience cardiaque. Pour guérir d’une fracture, nous ne pouvons pas nous contenter d’avaler un antidouleur. Nous devons réparer l’os. Pour guérir notre cœur malade, avaler un antidouleur n’est pas non plus une réponse suffisante. Nous devons restaurer notre pensée.

Embrasser votre tristesse, elle vous en dira long sur la connaissance de soi.

Bonne méditation

 

 

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Impact du traumatisme psychique

 

 

L’un des effets les plus pernicieux du traumatisme est la manière dont il perturbe notre faculté de « lire » les autres, ce qui rend l’interaction sociale extrêmement difficile. Celui ou celle qui a subit une violence physique et psychique à répétition se retrouve mal à l’aise dans sa vie sociale avec une grande difficulté à trouver la paix ou le plaisir dès qu’il ou elle se trouve en groupe. Bien souvent en quête de solitude pour pouvoir se retrouver. Si puissant qu’est ce besoin de solitude, il et elle ont aussi, comme nous tous, le besoin de contacts humains.

Les activités artistiques, la marche en pleine nature sont des moyens de nouer des rapports non seulement avec soi-même, mais aussi avec les autres dans un environnement ou la rencontre se trouve bien moins risquée que lorsqu’on l’on doit évoluer en société. Dans la sécurité d’un espace on peut parvenir à éviter les conflits et les pertes de contrôle, qui sont les principales craintes des personnes traumatisées.

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